ALIE ancêtres:
Pierre-François Alie (né en 1729 Granville -
décédé le 15-1-1757 à Québec)
marié à Josephte Vivier-Molleur-L'Allemand (née le
26-10 1724 à Beaumont-France) mariage le samedi 7-1-1747
à Notre-Dame-de-Québec.
*Il n'existe pas d'autre lignée de Alie
ALLARD ancêtre: François Allard (né en 1642
à Blacqueville-France - décédé le
25-10-1726 à Charlesbourg), marié à Jeanne
Anguille (1647-1711) à Beauport le dimanche 1-11-1671. Il est
immigré vers 1666 avec son frère Julien (1639
Artaine-France - 23-1 1706 Château-Richer) marié le 3 novembre
1655 à Chateau-Richer à Marie Deligny.
*** Il existe une autre lignée de Allard: celle de Pierre
Homme de métier (tonnelier) né en 1653 à
Sainte-Hermine (Poitou, France). Arrive en Nouvelle-France en 1679.
Père de la lignée Allard Lavoie d’Amérique.
Épouse (premières noces) Anne Lavoie* à
Beaupré en 1686 ; de cette union sont issus Marie Allard
(mariée à Joseph Brodière) et Pierre Allard
(marié à Hélène Perron). Père de la
lignée Allard Delugré d’Amérique.
Épouse (secondes noces) Marie-Marthe Delugré* en 1699 ;
de cette union sont issus Jean-Baptiste Allard (marié à
Marguerite Forget), Joseph Allard (marié à Cécile
Berlouin, François Allard (marié à Marie Lorrain)
et Eustache Allard (marié à Marie-Madeleine Forget).
Père de la lignée Allard Pinel d’Amérique.
Épouse (troisièmes noces) Marie-Madeleine Pinel*, veuve
de François Vandal, en 1700 ; de cette union sont issus
Marie-Geneviève Allard (mariée à Jacques Beausang)
et Marie-Madeleine Allard (mariée à Jean-Baptiste
Lesage). Décédé en 1703 à Beaupré.
Source: Jean Cournoyer.
ARSENAULT ancêtre: Pierre (né 1650 à Rochefort - La
Rochelle - FRANCE - 1714 à Beaubassin (AMHERST) - Cumberland
Acadie - Nouvelle-Écosse - CANADA) Marié en 1675 à
Port-Royal-Acadie à Marguerite Dugas (1657-?) puis le 21-11-1689
à Beaubassin (AMHERST) - Cumberland Acadie -
Nouvelle-Écosse - CANADA à Marie Guérin.
***Il existe 1 autre lignée Arsenault: celle de François.
Lieu d’origine inconnu. Le patronyme est aussi
épelé Arsonneau. S’établit à
Cap-de-la-Madeleine. Père de la lignée Arsenault Lecomte
d’Amérique. Épouse Suzanne Lecomte* en France en
1665 ; de cette union est issu Michel Arsenault (marié à
Marie-Madeleine Leblanc). En 1729, il avait 24 descendants.
Décédé en 1669 à Cap-de-la-Madeleine.
Source: Dictionnaire de Jean
Cournoyer.
François Arseneau
Ancêtre des Arseneau d'Amérique
A l’automne de 1665, François Arseneau épouse
Suzanne Lecomte qui devait malheureusement décéder
l’année suivante. En effet, elle mourut le 24
décembre 1666 en accouchant d’un fils que l’on
baptisa sous le nom de Michel.
François avait été, pendant un certain temps, au
service de Michel Peltier, sieur de la Prade. En 1665, il prend
à bail, pour une durée de trois ans, la ferme
d’Adrien Jolliet, au Cap-de-la-Madeleine. L’année suivante, il reçoit cependant des pères
Jésuites une concession à Batiscan.
L’existence de François Arseneau en Nouvelle-France devait
être de courte durée. En effet, il mourut d’un flux
de sang le 10 février 1669. Son unique fils, Michel, qui
n’avait que 2 ans et 3 mois au moment du décès de
son père, fut confié au notaire Claude Herlin.
Michel épousera Marie-Madeleine Leblanc au Cap-de-la-Madeleine,
le 24 novembre 1689. Elle était la fille de Nicolas Leblanc et
de Madeleine Labrie. De cette union, naquirent 9 enfants dont 6 fils.
Quatre d’entre eux convolèrent eux aussi en juste noces et
perpétuèrent ainsi le nom d’Arseneau. Michel
épousera en secondes noces la veuve Catherine Lapierre. Source:
Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
On peut retracer également des origines acadiennes au nom "Arsenault".
En 1675, Pierre Arsenault, pilote côtier, se mariait avec
Marguerite Dugas, fille d'Abraham Dugas et de Marguerite Doucet. Ils
eurent deux fils. Vers 1685, Pierre convolait de nouveau avec Marie
Guérin, fille de François Guérin et d'Anne
Blanchard. De ce mariage naquirent six autres fils et une fille.
L'aîné de tous les enfants, Pierre, se maria avec
Marie-Anne Boudrot, fille de Jean Boudrot et de Marguerite Bourgeois.
Il eurent dix enfants. D'autres enfants se marièrent à
leur tour.
Le nom Arseneau s’est transporté à travers les
âges en subissant de nombreuses modifications orthographiques.
C’est ainsi qu’on retrouve aujourd’hui des :
Arsenault, Arseneault, Arceneau, Arconneau, Arsonneau, Aursonneau.
Source: Société historique acadienne.
BARBEAU ancêtre: François. (né en 1649 à
Marsais-Ste-Radegonde - 15-6-1711 à Charlesbourg) Il
était sabotier. Marié à Marguerite Hedouin le
24-8-1671 à Québec. de cette union sont issus Marguerite
Barbeau (mariée à Pierre Gendreau), Jacques Barbeau
(marié à Marie-Anne Bisson), Jean-François Barbeau
(marié à Marie-Catherine Vivier), François Barbeau
(marié à Louise Dumont), Marie Barbeau (mariée
à Jean Bernard), Pierre Barbeau (marié à
Marie-Anne Lauzé), Jean-Baptiste Barbeau
(marié à
Marie-Françoise Merdieu), Simon Barbeau (marié à
Catherine Auvray), Marie-Catherine Barbeau* (mariée à
Pierre Richer, puis à Marin Fortin* dit Lafortune) et
Marie-Romaine Barbeau* (mariée à Bonaventure Laplante*
dit Champagne). En 1729 il avait 83 descendants.
Décédé en 1711 à Charlesbourg. Source: Dictionnaire de Jean
Cournoyer.
***Il y a 3 autres lignées de Barbeau!
BEAUCHEMIN ancêtre: Louis Pinard-dit-Beauchemin (né
12-7-1634 à Notre-Dame-de-Cogne - Larochelle - Aunis - FRANCE -
12-1-165 à Batiscan). Il était Maître Chirurgien.
Marié le 29-10-1658 à Trois-Rivières à
Marie-Madeleine Hertel. Il s'est remarié le 30-11-1680 à
Champlain à Marie-Ursule Pépin.
***Il n'y a pas d'autre lignée de Beauchemin!
BEAUDOIN ancêtre: Jean (né en 1637 à
St-Martin-de-Lajarrie - Aunis - La Rochelle - FRANCE - 25-9-1713
à Pointe-aux-Trembles - Montréal - Québec). Il
était MILICIEN, HABITANT. Marié le 27-11-1663 à
Montréal à Marie-Charlotte Chauvin (née le
5-4-1651 à Montréal - 31 OCT 1718,POINTE-AUX-TREMBLES
(MONTREAL). En 1729 il avait 133 descendants.
***Il existe 4 autres lignés: celle de Gervais et Anne Aubert,
celle de Jacques et Françoise Durand et celle de René et
Marie Raclos remarié (secondes noces) Marie-Anne Besnier.
BEAULAC ancêtre: Pierre Lefebvre-dit-Descoteaux-dit-Beaulac
(né en 1616 à Sceaux-Paris-France - 16-7-1668 à
Cap-de-la-Madeleine) Il avait la Concession de la Seigneurie de
Gentilly. Marié en 1646 à Trois-Rivières à
Jeanne Auneau-Aunois. En 1729, il avait 387 descendants.
***Il existe 13 autres lignées!
BEAUSOLEIL ancêtre: Élie Vilat-Beausoleil dit-Vilot
(né en 1709 à Trois-Rivières - ?). Marié le
2-10-1742 à Trois-Rivières à Josephte-Marie-Claire
Dumas (1726-1752).
***Il n'existe pas d'autre lignée de Beausoleil ni de Vilat!
BELANGER ancêtre: François ( 7-10-1612 à
St-Pierre-du-Château (SEES) - Alencon - FRANCE - 25-10-1685
à L'Islet-sur-Mer). Il était IMMIGRANT, MAÇON, CAPITAINE.
Marié le 12-7-1637 à Québec à Marie Guyon
(18-3-1624 à St-Jean-Mortagne - Perche - France - 29-8-1696
à Cap-St-Ignace) En 1729 il avait 706 descendants.
***Il existe 1 autre lignée: celle de Nicolas & Marie de Rainville.
BELCOURT ancêtre: Jules-Gilles
Trottier-dit-Desruisseaux-dit-Belcourt (1590 à
St-Martin-d'Ige-au-Perche - FRANCE - 10-5-1652 à
Trois-Rivières). Il était charpentier. Marié vers
1625 à St-Martin-d'Ige-au-Perche - FRANCE à Catherine
Loiseau (1596 à St-Martin-d'Ige-au-Perche - 2-1-1656
à Trois-Rivières).
Jules Trottier
Ancêtre des Trottier et Belcourt d'Amérique
Jules Trottier qu'on appelait aussi Gilles ou Julien serait
probablement l'ancêtre de la plupart des Trottier
d'Amérique. L'ancêtre naissait en 1590, à
Saint-Martin d’Igée en Perche de père et
mère inconnus.
Vers 1625, il unissait sa destinée à Catherine Loiseau,
née vers 1596 à St-Martin d'Igée. On ne
connaît pas l'identité de ses parents.
Le 4 juillet 1646, il signait son contrat d'engagement devant le
notaire Teuleron de La Rochelle. Il fit le voyage accompagné de
sa femme et de ses trois enfants : Julien 10 ans, Antoine 7 ans et
Pierre âgé de 2 ans. On raconte que Catherine Loiseau, son
épouse, donna naissance à un quatrième enfant,
Jean-Baptiste, au cours de la traversée. À leur
arrivée, la famille s’arrêta à Québec.
En 1650, les Trottier/Loiseau reçurent une concession de terre
à Trois-Rivières. En 1652, ils la vendirent et
s'achetèrent une maison au Cap-de-la-Madeleine.
Jules adopta un métier très fréquent à
cette époque, le commerce des pelleteries. Il mourut le 10 mai
1655 à l'âge de 64 ans et fut inhumé à
Trois-Rivières sous le prénom de Julien.
Sa femme Catherine mourut l'année suivante à l'âge
de 60 ans et fut inhumée le 28 janvier également à
Trois-Rivières.
Ils laissaient quatre enfants: Julien épousa à
Québec Marie Sédilot le 16 août 1660. Ils n'eurent
que des filles. Pierre épousa Suzanne Migaud en 1663.
Jean-Baptiste se maria en 1666 à Geneviève Lafond.
Antoine, deuxième fils de Jules, né en France en 1638,
épousa aux Trois-Rivières le 2 septembre 1663 à
l'âge de 25 ans Catherine Lefebvre, fille de Pierre et de Jeanne
Aunois.
Antoine, sieur Desruisseaux, est l'ancêtre des Belcourt. Les huit
fils d'Antoine se marièrent et s'établirent dans la
région de Batiscan.
Fait assez curieux, peut-être unique dans nos annales, les huit
adoptèrent chacun un nom différent: Joseph,
l'aîné, garda le nom de son père: DesRuisseaux,
Michel, le second, prit le nom de Beaubien, Pierre prit le nom de
Desaulniers, Noel, celui de Labissionnière,
François-Marie, celui de Bellecour et Antoine adopta le nom de
Pombert. Julien choisit le nom de DesRivières et Alexis, le plus
jeune, garda le nom de Trottier.
De génération en génération, les Trottier
passait vraisemblablement pour des brasseurs d'affaires hors pair. En
1646, lors de l'arrivée de l'ancêtre Jules au pays, on le
sollicita pour diriger la métairie de Portneuf. Antoine dit
Desruisseaux, son fils, devint un très important marchand de son
temps. Marguerite, sa petite-fille œuvra en tant que
supérieure générale de la communauté de la
Congrégation Notre-Dame. Parmi les fils d'Antoine, deux d'entre
eux devinrent Seigneurs. Son arrière-petit-fils, Pierre dit
Desaulniers, était syndic des marchands de Québec et fut
également un pionnier de la construction navale au Canada.
Joseph Beaubien fut le fondateur de la ville d'Outremont et
Jean-Baptiste Beaubien faisait partie des fondateurs de Chicago.
Les descendants de chacune de ces branches ont essaimé dans
l'Amérique du Nord et contribuèrent à
répandre les noms Beaubien, Bellecour (Belcourt), Desaulniers,
DesRivières, DesRuisseaux, Labissonnière, Pombert et
Trottier
Source: Le Centre de généalogie francophone
d'Amérique (RB) Référence: Famille Belcourt
Tricentenaire 1646 1946.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Belcourt!
BELISLE ancêtre: François
Chevrefils-dit-Lalime-dit-Belisle (1643 à Perigueux - Perigord -
FRANCE - 18-5-1678 à Sorel). Il était Soldat de
Carignant, CIE DE ST-OURS. Marié en 1671 à
St-Ours-Richelieu-Québec à Marie Lamy (1653 en France -
13-3-1733 à St-Ours). Elle était Fille du Roi.
***Il existe 1 autre lignée: celle de Henri & Catherine de Mosny.
BELIVEAU ancêtre: Antoine (né en 1621 à La
Chaussée (LOUDUN) - Vienne - Poitou - FRANCE - vers 1690 en
Acadie). Marié en 1650 à La Chaussée (LOUDUN) -
Vienne - Poitou - FRANCE à Marie-Andrée Guyon (née
en 1615 à La Chaussée (LOUDUN) - Vienne - Poitou - FRANCE
- vers 1685 en Acadie).
Ancêtre des Belliveau d'Amérique
Antoine Belliveau serait arrivé en Acadie parmi les premiers
colons. Au début des années 1650 (on présume en
1651), il épouse Andrée Guyon, veuve Bernard, qui a
déjà deux jeunes filles. Près d'un an après
leur mariage, les époux Belliveau voient arriver un fils, Jean.
Jean se mariera deux fois. En 1671, il convole une première fois
avec Jeanne Bourque, fille d'Antoine Bourque et d'Antoinette Landry.
Puis, en 1703, il se marie une deuxième fois avec Cécile
Melanson, veuve d'Abraham Boudrot. Elle est la fille de Charles
Melanson et de Marie Dugas.
De son premier mariage avec Jeanne Bourque allait naître des
enfants, dont un fils ainé, lui aussi baptisé Jean. Il
serait né vers 1674 et se maria, vers 1696, avec Madeleine
Melanson, la soeur de celle qui deviendra plus tard sa
belle-mère, c'est-à-dire la seconde épouse de son
père. Il décèdera à la suite de blessures
subies lors de l'invasion anglaise de septembre 1707.
Il laissait ainsi dans le deuil trois fils et une fille qui allaient
étendre sa progéniture en terre d'Amérique.
Source: La Société historique acadienne.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Béliveau!
BELLEROSE ancêtre: Joseph-Hyacinthe (né en 1720 à
St-Dominique-Nay - Bearn - FRANCE - 22 12 1790 à Nicolet)
Marié le 31-3-1761 à St-François-de-Lac à
Madeleine Joyal-Joyelle (née en 1736 au Québec -
4-11-1796 à Nicolet).
***Il n'existe pas d'autre lignée de Bellerose!
BENOIT ancêtre: Gabriel Benoist-dit-Laforest (né en 1636
à Montmorency - St-Prix - FRANCE - 27-10-1686 à
Trois-Rivières). Marié le 26-10-1665 à Champlain
à Marie-Anne Guedon (née en 1641 à Bourg de Magny
- Pontoise - Normandie - FRANCE - 22-3-1732 à Yamachiche). En
1729 il avait 125 descendants.
***Il existe 3 autres lignées: celle de Abel & Marthe
Pointel, celle de Étienne-dit-Lajeunesse & Nicole
Chandoiseau et celle de Paul-dit-Livernois & Élisabeth
Gobinet.
BERNIER ancêtre: Jacques. Agriculteur originaire de
Saint-Germain-l’Auxerrois (Paris, France). S’établit
à l'île d'Orléans en 1656 sur le fief de
Saint-Joseph, puis déménage à Cap-Saint-Ignace en
1674. Père de la lignée Bernier Grenier
d’Amérique. Épouse Antoinette
Grenier (1638-1712) à Québec en 1656 ; de cette
union sont issus Pierre Bernier (marié à Françoise
Boulet), Marie-Michelle Bernier (mariée à Pierre Caron),
Charles Bernier (marié à Marie-Anne Lemieux),
Jean-Baptiste Bernier (marié à Geneviève Caron),
Élisabeth Bernier (mariée à Joseph Caron),
Geneviève Bernier (mariée à Louis
Côté) et Philippe Bernier (marié à Ursule
Caron). Achète la seigneurie de Fournier en 1683. Ancêtre
de Joseph-Elzéar Bernier*. En 1729 il avait 235 descendants.
Décédé et inhumé en 1713 à
Cap-Saint-Ignace. Source: Dictionnaire de Jean
Cournoyer.
***Il existe 3 autre lignées de Bernier: Celle de André
marié à Jeanne Bourret à Charlesbourg en 1693,
celle de Jacques marié à (premières noces)
Élisabeth Derome à Québec en 1698 puis à
(secondes noces) Angélique Greslon* à Québec en
1711 et finalement celle de Mathurin dit-La-Marzelle marié
à Jeanne Vilain à Montréal en 1670.
BOISCLAIR ancêtre: Jacques Beriault (né en 1710 à
Amercy (CHARTRES) - Orléanais - FRANCE - ?). Marié en
juin 1731 à Québec à Marie-Anne Maranda.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Boisclair mais, il existe 1
autre lignée de Bériault: celle de Vincent Bériau & Marie Cordeau.
BOISVERT ancêtre: ÉTIENNE DENEVERS-BRENTIGNY-dit-Boisvert.
Etienne de Nevers et Jean Joubin
Ancêtre des Boisvert d'Amérique
Etienne De Nevers sieur de Brantigny est originaire d'Espinay, en
Champagne. Il quitta la France pour venir s'établir en
Nouvelle-France vers 1649. La pauvreté, la misère et la
guerre règnent à cette époque en Champagne.
Il séjourne tout d'abord aux Trois-Rivières où il
rendra divers services aux Pères Jésuites. Puis, il
déménage à Sillery.
D'ailleurs, le 28 octobre 1652, il y marie Anne Hayot, fille de Thomas
Hayot et de Jeanne Boucher. Hayot était l'un des premiers colons
de la Nouvelle-France. Anne était née le 26 juillet 1640.
Le 20 septembre 1654, Etienne fait l'achat d'une terre appartenant
à Julien Quentin, de deux arpents de front sur le fleuve
Saint-Laurent par vingt arpents de profondeur. Le prix de la vente est
de 250 livres tournois et Etienne paie la somme avec des castors pour
la valeur de 150 livres et avec le transfert d'une créance de
100 livres contre Mathieu Hubert dit Des Longchamps. Le 10 octobre
1660, il reçoit des Pères Jésuites une concession
de terre de trois arpents de front.
Ces acquisitions, ventes et échanges de terre n'allaient pas
s'arrêter là. Etienne de Nevers poursuivra en effet une
vie trépidante, ne lésinant point sur les marchés,
vivant tantôt d'agriculture, tantôt de la pêche et
d'autres activités commerciales.
Il s'éteignit en 1679. Anne Hayot décèdera plus
tard à l'Hôtel-Dieu de Québec, le 27 novembre 1694.
***Il existe 1 autre lignée de Boisvert: celle de Jean Joubin. Il
est né vers 1661 et est originaire de Saint-Benoit de Carmaux,
arrondissement d'Albi, évêché de Lavaur au
Languedoc (Tarn). Jean Joubin est de religion catholique, fils de
Benigne Joubin et de Jeanne Rivos, âgé de 33 ans, et
sa première apparition est lors de son mariage le 2 mai
1694 aux Grondines. Il épouse une demoiselle du nom de
Françoise-Élisabeth Renaud fille de Pierre-André
Renaud dit Locat et Françoise Desportes de St-Martin de
Carcares, arrondissement et évêché de
Béziers au Languedoc.
(Du livre "Histoire et Généalogie des Familles Boisvert")
Jean Joubin (Benigne & Jeanne Rivos)
décédé : 1737-03-20/21à
St-Charles-des-Roches, Grondines âgé d'environ 98 ans
(selon l'acte de décès.)
Françoise-Élisabeth Renaud (Benigne & Jeanne Rivos) (Pierre-André & Françoise Desportes)
n/b: 1675-01-17 à Sillery
Mariage 1694-05-02 Grondines
Leurs enfants:
1- Françoise-Isabelle Joubin dit Boisvert n/b: 1694-06-05/07 d/s: au berceau
• Elle serait selon Mgr Tanguay, décédée au berceau
2- Jean-Baptiste Jobin dit Boisvert n/b: 1696-01-29/29 Grondines d/s: 1734-08-30/31 Grondines
• Premier mariage: ?
à Thérèse Chene dite Lagrave (
Raymond&Marguerite Renaud)
• Deuxième mariage:
1733-07-29 à Québec à Marguerite Chevalier
(Étienne et Marguerite Lessard)
3- Francois Jobin dit Boisvert n/b: 1698-03-04/10 Grondines d/s 1733-09-26 à St-Anne-de-la-Pérade
• Mariage: 1731-01-22
à Grondines à Francoise Lecuyer (Antoine et Marguerite
Gaillou)
4- Joseph Jobin dit Boisvert n/b: vers 1702 à Grondines d/s: 1734-04-14 Ste-Anne-de-la-Pérade
• Mariage: 1729-11-07
à Grondines à Marie-Josephte Lecuyer (Antoine et
Marguerite Gaillou)
5- Alexis Joubin dit Boisvert n/b: 1704-07-04/08 Grondines
• Mariage: 1734-09-30
à Québec à Charlotte Hamelin (François et
Madeleine Aubert)
6- Marie-Françoise Jobin dit Boisvert n/b: 1707-02-22/04-02 à Grondines d/s: 1729-09-08/09 Grondines
• Célibataire
7- Josette Jobin n/b: 1710-01-03/19 à Grondines
• Mariage: 1731-01-23
à Grondines à François Ricard (Jean et Madeleine
Pinos)
8- Françoise Joubin dit Boisvert n/b: 1713-05-08/07-02 à
Grondines/Deschambault d/s: 1742-02-12/13 à Grondines
• Mariage: 1739-11-09
à Grondines à Bonaventure Sauvageau (Alexis et Marguerite
Martin)
9- Charles Joubin dit Boisvert n/b: 1716-05-23/06-07 à St-Anne-de-la-Pérade
• Mariage: 1749-04-15
à Grondines à Marie-Anne Ripau Dite Rollet (Jacques et
Marie-Françoise Delome)
Source: Diane B Couture et Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
BOURGEOIS ancêtre: Jacques-Jacob (né en 1621 à
Couvray - Brie - FRANCE - ?). Marié en 1643 à
Port-Royal-Acadie à Jeanne Trahan.
Jacques Bourgeois et Pierre Bourgeois
Ancêtres des Bourgeois d'Amérique
Jacques Bourgeois est né en France vers l'année 1619. En
1641, il arrive en terre d'Amérique sur le navire "Le
Saint-François". Il occupe alors la fonction de chirurgien. En
1643, il épouse Jeanne Trahan, fille de Guillaume Traham et de
Françoise Corbineau. Ils s'établissent à
Port-Royal.
Il ont un fils, Charles, vers l'année 1646. Ce dernier se maria
vers 1668 avec Anne Dugas, fille d'Abraham Duvas et de Marguerite
Doucet.
En 1672, Jacques envoya des colons afin de créer une
implantation à Beaubassin. Charles Bourgeois et sa femme Anne
allèrent s'y installer. Ils eurent eux-mêmes un
fils, en 1672, qu'ils prénommèrent également
Charles.
C'est de l'ancêtre Jacques que proviennent donc tous les Bourgeois qui peuplent aujourd'hui l'Acadie.
***Au Québec, vit aussi une lignée de Bourgeois, de
souche Française aussi mais n'ayant point passé par
l'Acadie. L'ancêtre Pierre Bourgeois est né vers
1730 à St-Hypolite -de-Poligny, Besançon,France. Pierre
arrive en Nouvelle-France vers 1750, et épouse Louise
Cléroux à St-Vincent -de-Paul, I.J. Qc. 28-10-1753 Fils
de Antoine Bourgeois né vers 1700 et Claudine Griphon,
Besançon en France. Antoine était le fils de Pierre
Bourgeois né 1680 et Jeanne Claudine Savelle,
Franche-Comté,France.
Source: La Société historique acadienne. et Danielle Bourgeois.
CAMIRE ancêtre: Nicolas (16-02-1702, CHAMPLITTE, DIJON, BOURGOGNE,
FRANCE - 9-01-1746, STE-MARIE DE BEAUCE) Marié le 28-1-1741
à St-Joseph-de-Lévis à Geneviève Marchand.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Camiré!
CAYA ancêtre: Pierre Cailla (vers 1631 à
Bourg-sous-la-Roche Poitou-France - 31-1-1690 à
Trois-Rivières). Marié le 19-2-1664 à Champlain
à Olive Landry (née vers 1627 à Dompierre-sur-Mer
France - 29-5-1702 à Trois-Rivières).
Ancêtre des Caya d'Amérique
Pierre Cailleau, fils de Thomas et Florence Gernie, est né en
1631 et décédé le 14 sept 1717. Il venait de Bourg
sous la Roche (aujourd'hui une paroisse de Roche sur Yon,
Vendée), Poitou, France. Il arriva dans la région de
Trois-Rivières, Nouvelle France, vers 1647.
Pierre Cailleau était un marchand de terre. Le 25 novembre 1657
il lui fut concédé une terre de 2 arpents de front par 25
arpents de profond. Pierre Couc dit Fleur de Coignac acheta cette terre
le 7 janvier 1661 pour 750 livres incluant la maison. On dit que Pierre
Cailleau voulait retourner en France mais le 15 juillet 1662 il a
poursuivi Couc en justice pour obtenir les 100 livres encore dues.
Aujourd'hui cette terre au Cap de la Madeleine serait incluse au front
par le troisième chenal du St-Maurice, au fond par la rue de
Grandmont, à l'est par la rue Arcant et son prolongement et
à l'ouest par la rue des Chenaux et sont prolongement. Il
s'installa finalement à Champlain.
Le 31 janvier 1664, il maria Olive Landry (né 1631 ou
1633, sépulture le 29 mai 1702) veuve de Pierre Poupault. Elle
était la fille de Antoine et Andrée Comaillette venant de
Dompierre (Aunis). Elle avait un fils, Pierre, de 4 ans qui retourna en
France. Le couple eu un fils Pierre Cailla ( né en 1664) et un
fille Marie (né en 1666). Marie épousa Thomas Thomelet.
Pierre se maria avec Thérèse Houré le 31 janvier
1690. Ils eurent plusieurs enfants qui sont les CAYA. Un de ses fils
Joseph s'installa à la Baie St-Antoine vers 1735 (aujourd'hui
Baie Dufebvre). En 1998 il y a plus de 10 générations de
CAYA vivant principalement au Québec mais aussi ailleurs au
Canada et aux États Unis.
Source: Jacques Caya
***Il nexiste pas d'autre lignée de Caya!
CHAMPAGNE ancêtre: Charles Orion
dit-Champagne. (né 1653 à Laflèche - Ev. - Anger -
FRANCE - 2-12-1742 à Port-Royal). Marié le 8-7-1704
à Port-Royal-Acadie à marie Bastarache (1681-1726).
***Il n'existe pas d'autre lignée de Orion ni de Champagne!
CHASSE ancêtre: Jean-François Chassey (12-8-1711 à
Combeau-Fontaine - Haute-Saone - FRANCE - 6-7-1798
St-André-de-Kamouraska). Marié le 27-6-1735 à
St-Louis-de-Kamouraska à Josephte Migneau (1715 - 2-3-1757
à Kamouraska).
***Il nexiste pas d'autre lignée de Chassé
COTE ancêtre: Jean Coste Né en 1615 en Mortagne (Orne,
Perche, France). Ce patronyme est aussi épelé
Costé. Arrive en Nouvelle-France en 1635. S’établit
à Québec. Père de la lignée
Côté Martin d’Amérique. Épouse Anne
Martin* à Québec en 1635 ; de cette union sont issus
Louis Côté (marié à Élisabeth
Langlois), Simone Côté* (mariée à Pierre
Soumande*), Martin Côté (marié à Suzanne
Pagé), Mathieu Côté (marié à
Élisabeth Gravel), Jean Côté (marié à
Anne Couture), Noël Côté (marié à
Hélène Graton) et Louise Côté (mariée
à Jean Grignon). Le 5 février 1645, il reçoit sa
première concession de 3 arpents de front sur le fleuve du
seigneur de Beauport, Robert Giffard*; cette terre est située
entre celles de Zacharie Cloutier et de Noël Langlois. En 1729, il
avait 381 descendants. Décédé en 1661 à
Québec. Source: Dictionnaire de Jean Cournoyer.
Jean Côté
Ancêtre des Côté d'Amérique
L'ancêtre Jean Costé, Cotté, Cottez ou
Côté fut l'un des premiers habitants du pays. Son origine
demeure inconnue bien que quelques-uns pensent qu'il serait né
dans le Perche
On sait cependant qu'il s'attacha à l'oeuvre de Robert Giffard,
premier Seigneur de Beauport. C'est ainsi qu'il arriva en 1635 et se
fixa sur une terre concédée par le sieur Giffard.
Il épousa, le 17 novembre 1635, Anne Martin, qui pourrait
être la fille de Galeran Martin, le père d'Abraham Martin
de qui, selon la légende, le nom des célèbres
Plaines origine. Ce couple mit au monde 8 enfants dont 7 se
marièrent et devinrent les ancêtres de presque tous les
Canadiens français.
L'année suivante, le sieur de Montmagny, gouverneur de la
Nouvelle-France, lui céda un emplacement d'un arpent de front
sur la Grande-Allée. En 1641, avec son voisin Noël
Langlois, il s'engagea à fournir à la Compagnie de la
Nouvelle France, cinq cent bottes de foin pour 80 livres tournois.
En 1645, le Seigneur Giffard lui légua officiellement la terre
qu'il occupait depuis une dizaine d'années. Il reçoit
à la même époque un emplacement de cent cinquante
pieds de front par soixante pieds de profondeur à la Haute-Ville
de Québec. Il le vend à son gendre, Pierre Soumandre,
lors de la passation de son contrat de mariage.
Il décédait le 27 mars 1661 et il fut inhumé le lendemain à Québec.
Sur son acte de sépulture on pouvait lire: «L'an 1661, le
28 mars a été enterré dans l'église, Jean
Costé, ancien habitant de ce pays mort le Jour
précédent en sa maison».
Anne Martin lui survivra jusqu'au 4 décembre 1684, date à
laquelle elle fût inhumée à Québec.
Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il nexiste pas d'autre lignée de Côté!
COURCHESNE ancêtre Jean-Baptiste Foucault (né en 1641
à Saint-Michel-de-Double France - 4-12-1700 à
Trois-Rivières) Marié le 14-11-1671 à
Québec à Élisabeth Prévost (née en
1643 à St-Nicolas (Rouen) - Normandie - FRANCE - 4-1-1722
à Trois-Rivières). En 1729, il avait 37 descendants.
***Il existe 1 autre lignée de Courchesne: celle de Jean-Baptiste
dit-Person. Amérindien de Batiscan. Kiakionna. Père de la
lignée Courchesne Lafond d’Amérique. Il
épouse Marguerite Lafond à Batiscan en 1710 ; de cette
union sont issus Pierre Courchesne, Marie-Agathe Courchesne, Jean
Baptiste Courchesne, Joseph Courchesne et Marie-Catherine Courchesne.
Source: dictionnaire de Jean Cournoyer.
DANEAU ancêtre: Jacques Daniau (né 1653 St-Jard-sur-Mer -
Ar les Sables d'Olonne - FRANCE - 21-4-1732 à Nicolet).
Marié le 8-2-1683 à Trois-Rivières à Marie
Lepele-Lahaie.
Né vers 1653 à Jard-sur-Mer (Vendée, Poitou,
France). Père de la lignée Daneau LePellé
d’Amérique. Épouse Marie LePellé* à
Trois-Rivières en 1683 ; de cette union sont issus Jacques
Daneau (marié à Thrèse Dupuis) et Marie-Louise
Daneau (mariée à Thomas Stilet).
Source: dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Il existe 1 autre lignée de Danneau: celle de Nicolas
dit-Daneau-de-Muy. Militaire né en 1651 dans la paroisse
Saint-Martin de Beauvais (Oise, Picardie, France). Arrive en
Nouvelle-France le 29 juillet 1685 à la tête de six
compagnies du détachement de la Marine du régiment de
Normandie venues avec le marquis de Denonville à bord des
navires Le Fourgon, Le Mulet et La Diligente. Père de la
lignée Daneau Boucher d’Amérique. Épouse
Marguerite Boucher* à Boucherville en 1687 ; de cette union sont
issus Marguerite-Philippe Daneau (mariée à René
Robineau), Marie-Madeleine Boucher, Jacques-Pierre Daneau (marié
à Louise-Geneviève Ruette d’Auteuil). Commandant du
fort Chambly (1695-1704). Major des troupes françaises au Canada
(1704-1706). Chevalier de Saint-Louis (1706). Gouverneur de la
Louisiane (1707-1708). Le 25 avril 1695, Pierre Boucher Boucher de
Grosbois et de Boucherville lui concède
l’arrière-fief de Muy de la seigneurie de Boucherville.
Gendre de Pierre Boucher* de Grosbois et de Boucherville.
Décédé en 1708 à bord du navire La
Renommée qui l’amenait vers La Havane (Cuba).
Source: dictionnaire de Jean Cournoyer.
DEMERS ancêtre: Jean (né en 1632 à
St-Jacques-de-Dieppe - 3-7-1708 à Québec). Marié
le 9-11-1654 à Montréal à Jeanne Vedie-Voidy
(née en 1637 - 1-12-1708).
Etienne, André & Jean Demers
Ancêtre des Demers d'Amérique
***
Trois charpentiers, originaires de la paroisse Saint-Jacques, à
Dieppe, en Normandie, viennent s'établir en Nouvelle-France au
XVII siècle, ce sont:
Étienne Dumay (fils de Jean et de Miotte Lecombe), marié
le 28 janvier 1648 à Françoise Morin (filles de Jean et
de Jeanne Denoise), à Notre-Dame-de-Québec. De ce mariage
naissent neuf enfants.
André Dumay (fils de Jean et de Barbe Mauge, frère de
Jean), marié le 7 janvier 1654 à Marie Chefdeville,
à Notre-Dame-de-Montréal. Douze enfants survivent de ce
mariage.
Jean Dumay (fils de Jean et de Barne Mauger, frère
d'André), marié le 9 novembre 1654 à Jeanne Voidy,
à Notre-Dame-de-Montréal. Ce mariage donne douze enfants.
Le sieur de Maisonneuve et Lambert Closse furent les témoins du mariage des deux frères Demers.
C'est ainsi que, grâce à des familles nombreuses, se
répandit le nom des Demers en terre d'Amérique. Source:
Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Selon Jean Cournoyer, il y aurait en plus 3 autres lignées: celles de François, Joseph et Michel Demers
DESCOTEAUX ancêtre: Pierre Lefebvre est un de ces quelques trente
Lefebvre arrivés en Nouvelle-France au dix-septième
siècle. Il était le fils de Pierre Lefebvre et de Jeanne
Cutiloup.
En 1646, il se marie avec Jeanne Auneau, aux Trois-Rivières.
Sept enfants sont nés de cette union. Un des descendants,
Jacques, sera seigneur de la Baie-du-Febvre. D'autres Lefebvre vinrent
de Normandie, de la Picardie et d'autres régions de France
trouver sur ce nouveau continent un peu d'espoir et la promesse d'un
avenir meilleur. Ce sont ces aventuriers en quête
d'espérance qui implantèrent le nom des Lefebvre en terre
d'Amérique. Source: Le Centre de généalogie
francophone d'Amérique.
(Le frère de Jacques, Ange est venu le rejoindre à Baie-du-Febvre, les
deux habitaient l'un en face de l'autre à moins de 2 km à l'est de
l'actuel village. Jacques habitait sur le plat au nord de la route 132
et Ange habitait de l'autre côté en haut sur le coteaux... C'est
pourquoi le patronyme Descoteaux est apparu dans sa descendance)!
***Il n'existe pas d'autre lignée de Descoteaux!
DESFOSSES ancêtre: Jean Laspron
dit-Lacharité-Lampron. (né en 1645 à
St-Jacques-Lacharite-sur-Loire - Niverno - FRANCE - 15-7-1692 à
Nicolet). Marié le 7-10-1669 à Québec à
Anne-Michelle Renault.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Desfossés!
DESILETS ancêtre: Antoine Desrosiers
***Il existe deux lignées de Desrosiers.
Antoine Desrosiers devait être arrivé au Canada au
début des années 1640 puisqu'en janvier de 1642 il agit
comme parrain d'un amérindien baptisé à Sillery.
En 1645, on le retrouve à l'emploi des Pères
Jésuites aux Trois-Rivières.
Il se marie en 1647 avec Anne Leneuf, fille de Michel Leneuf du
Hérisson qui était arrivé au Canada en 1636.
Leneuf était un personnage influent en Nouvelle-France et
occupait plusieurs postes importants dont celui de juge royal. Anne
apportait en mariage une dot fort intéressante. Son père
y avait d'ailleurs versé 500 livres, de la lingerie, de la
vaisselle, une génisse et une truie en gestation. Pour Antoine
il s'agissait donc d'une bien bonne affaire...
Ils commencèrent par s'installer sur une terre louée. Le
28 octobre 1649, Antoine se vit concéder par le gouverneur
d'Ailleoust une terre d'une superficie de 20 arpents à
l'extérieur du bourg, sur les bords de la rivière
Saint-Maurice. Puis, l'année suivante, il reçoit une
autre concession d'une terre à l'intérieur du bourg. En
1657, Antoine reçoit une autre terre du gouverneur Pierre
Boucher. Elle est d'une superficie de 25 arpents et se trouve
située là où devait naître le village de la
Pointe-du-Lac.
Trois-Rivières constituait, à cette époque, un
poste de traite avancé et on peut présumer qu'Antoine s'y
adonnait puisque son beau-père y avait renommé de
marchand de fourrures. C'est sans doute lors d'une expédition
qu'il fut capturé, en 1659, par les indiens Onontageronons dans
la région du lac Ontario. Il leur échappa et revint aux
Trois-Rivières.
La deuxième lignée a comme ancêtre le soldat
François Guire dit Larose, originaire du Périgord, en
France. Il appartenait au régiment de Carignan-Salières
qui était venu en Nouvelle-France en 1665 pour combattre les
Iroquois. Il fut, lors de la démobilisation, l'un des 400
soldats qui décidèrent de demeurer en au pays
plutôt que de retourner en France.
En 1670, il prend Marie-Rose Colin pour femme. Cette dernière
est originaire de Châlons-sur-Marne, en Champagne, et est
enée en France en 1646. Elle est la fille de Pierre Collin et de
Jeanne Duposteau. Elle est une Fille du Roy, venue à
Québec la même année. Ils s'établissent
à St-Ours et auront neuf enfants.
François a un frère, Sicaire Guire dit Laprairie, venu au
pays dans le même régiment. Ce dernier s'établira
au Lac St-Louis et restera célibataire.
Des enfants de François et Marie-Rose, quatre, soit Luc, Jean,
François et Jean-Baptiste conserveront le nom de famille Guire.
Ils habiteront Montréal et la région. L'autre fils,
Pierre, prendra le surnom de Desrosiers et s'établira à
Saint-Michel d'Yamaska.
C'est ainsi qu'ont pris racine les nombreux descendants Desrosiers en terre d'Amérique.
Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Désilets!
DIONNE ancêtre: Antoine Dionne. On ne connaît pas
l'origine de l'ancêtre Antoine Dionne. Cependant nous savons
qu'il se maria en France vers 1660 à Catherine Ivory. Les
antécédents de son épouse sont tout aussi
énigmatiques.
Vers 1663, les Dionne se fixèrent à l'Île
d'Orléans. Cinq ans plus tard, lors du recensement de 1667, ils
possédaient huit arpents de terre en culture. Antoine ne
manquait pas de persévérance. En 1681, le couple avait 25
arpents de terre en valeur et trois bêtes à cornes.
De l'union du couple Dionne naissait 12 enfants, soit trois
garçons et neuf filles. Jean fut le seul de leurs fils à
perpétuer le patronyme. Jean fonda son foyer avec
Marie-Charlotte Mignault. Elle était la fille de Jean et de
Louise Cloutier. Le couple Dionne-Mignault vécut à
l'Île d'Orléans quelques années et s'établit
ensuite à Kamouraska, lieu historique où une plaque
commémorative à la mémoire de ce pionnier fut
implantée.
Les quatre fils de Jean engendrèrent plus d'une quarantaine de
petits-enfants; la moitié d'entre eux eurent des petits-fils et
une quinzaine se marièrent à leur tour.
L'aïeul, Antoine Dionne, décédait le 24
décembre 1721, à St-Jean, Île d'Orléans;
quant à son épouse, Catherine, on sait qu'elle
décéda après 1709.
Source : Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il nexiste pas d'autre lignée de Dionne!
DUGUAY ancêtre: Pierre Duguay-Duguet. Né en 1663 à
Chérac (Charente-Maritime, Saintonge, France). Père de la
lignée Duguay Delugré d’Amérique.
Épouse (premières noces) Angélique Delugré*
à L’Ange-Gardien (près de Québec) en 1694 ;
de cette union sont issus Geneviève Duguay (mariée
à André Bergeron), Jacques Duguay, Ursule Duguay
(mariée à Charles Houde) et Charlotte-Angélique
Duguay. Père de la lignée Duguay Ayot
d’Amérique. Épouse (secondes noces)
Marie-Angélique Ayot* à Saint-Antoine-de-Tilly en 1718;
de cette union sont issus Ursule Duguay, Antoine Duguay et
Josèphe-Angélique Duguay. Source: dictionnaire de Jean
Cournoyer.
***Il existe 2 autres lignées de Duguay-Dugué: celle de
Jacques marié à Jeanne Beaudry à
Trois-Rivières en 1672, celle de Michel-Sidrac Dugué
de Boisbriand marié à Marie Moyen à
Montréal en 1667 (on le connait sous le patronyme Boisbriand)
DUPLESSIS ancêtre: Nicolas Gatineau-dit-Duplessis. Militaire,
commerçant et juge né vers 1627 dans la paroisse
Saint-Eustache de Paris (France). Le patronyme est aussi
épelé Gastineau. Père de la lignée Gatineau
Crevier d’Amérique. Épouse Marie Crevier* à
Trois-Rivières en 1663 ; de cette union sont issus Nicolas
Gatineau (marié à Jeanne Testard), Jeanne-Renée
dite Marguerite (mariée à Jean Amont), Jean Gatineau
(mariée à Charlotte Boulanger), Madeleine Gatineau
(mariée à Jacques Douaire) et Louis Gatineau
(mariée Jeanne LeMoyne). En 1729, il avait 20 descendants.
Décédé en 1689 à
l’Hôtel-Dieu de Québec. Source: dictionnaire de Jean
Cournoyer.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Dupplessis!
DUPONT ancêtre: Gilles (né en 1636 à
Biencourt-France - 24-12-1683 à Cap-de-la-Madeleine).
Marié le 10-8-1670 à Trois-Rivières à
Françoise Michel (18-8-1649 à Sennevoy-le-Haut-France -
17-11-1698 Mauricie). Il est l'ancêtre de 99% des Dupont du
centre du Québec. En 1729, il avait 74 descendants.
***Il existe 3 autres lignées de Dupont: celle de François
& Suzanne Jarel à Chateau-Richer, celle de Guillaume &
Suzanne Métayer à Québec et celle de Nicolas &
Jeanne Gaudais.
DUPUIS ancêtre: Jean-François Dupuis dit Jolicoeur ne fut
pas le premier pionnier de ce nom à s’installer en
Nouvelle-France mais il fut le premier à se marier et à
engendrer des enfants mâles qui assurèrent ainsi la survie
de ce patronyme.
Jean-François est né le 8 décembre 1670 et fut
baptisé le 14 à Saint-Astiers près de
Périgueux en Dordogne, le fils de François et de Philippe
David. Il arrive en Nouvelle-France vers 1687 en tant que soldat des
troupes de la Marine de la compagnie de Lagroix.
Très peu de temps après son arrivée, soit le 10
novembre 1698 à Champlain, il unit sa destinée à
Marguerite Banliac dite Lamontagne âgée de 17 ans, la
fille de François (un Saint-Astier) et de Marie
Angélique Pelletier dite Antaya.
Le couple se fixa à Maskinongé, et c'est là que
naquirent la plupart de leurs treize enfants dont cinq étaient
des fils:
• Charles, né le 30
juillet 1699 à Champlain, marié à
Rivière-du-Loup en 1720 à Marie Ursule Sicard de Carufel,
décédé le 21 mars 1754;
• Marguerite, née le
24 février 1701 à Trois-Rivières, mariée
à Jean Baptiste Caillé, décédée le
25 août 1747 à St-François-du-Lac;
• Jean-Baptiste, né
vers 1703, marié à Trois-Rivières en 1739 à
Catherine Constantineau;
• Thérèse,
née le 23 janvier 1705 à Trois-Rivières,
mariée à Cap-de-la-Madeleine en 1728 à Louis
Tessier Laforest, décédée le 26 juin 1736 à
St-Sulpice;
• François, né
le 20 avril 1707 à Trois-Rivières, marié à
St-François-du-Lac en 1730 à Thérèse
Marquet;
• Catherine, née le
1er novembre 1708 à Sorel, mariée à
Trois-Rivières en 1732 à Guillaume Lacerte,
décédée le 2 août 1741 à
Trois-Rivières;
• Marie-Anne, née le
5 janvier 1711 à Trois-Rivières, mariée à
St-François-du-Lac en 1734 à Pierre Marquet (frère
de Thérèse);
• Marie-Josephe, née
vers 1712, mariée à Rivière-du-Loup en 1731
à Louis Arcouet Lajeunesse, décédée le 7
novembre 1743;
• Exupère, né
le 7 février 1713 à Trois-Rivières,
décédé le 22 juillet 1715;
• Gertrude, née le 17
octobre 1714 à Trois-Rivières, mariée à
Trois-Rivières en 1733 à Pierre Blanchard;
• Brigitte, née le 4
août 1716 à Rivière-du-Loup, mariée à
Trois-Rivières en 1740 à Elie Manseau;
• Antoine, né le 24
février 1718 à Rivière-du-Loup, marié
à Trois-Rivières en 1741 à Marie Ursule Alary;
• Marie Ursule, née
vers 1720, mariée à Trois-Rivières en 1739
à Pierre Da Sylva.
Les quatre frères donnèrent plus d'une quarantaine de petits-enfants à leurs parents.
L’ancêtre serait décédé avant 1727 car
sa veuve se marie en secondes noces à Rivière-du-Loup le
10 février 1727 avec Jacques Chrétien de
l’Île d’Orléans. Source: Le Centre de
généalogie francophone d'Amérique(RB)
***Il existe 4 autres lignées de Dupuis: celle de François
marié à Georgette Richer à Québec en 1670,
celle de Jean dit-Gilbert marié à Marie-Angélique
Brunet à Sainte-Foy en 1741, celle de Louis dit-Parisien
marié à Barbe Dubeau à Québec en 1688 et
celle de Paul Dupuis de Lislois marié à Jeanne Couillard
à Québec en 1668 .
DUVAL ancêtre: Étienne (né vers 1720 à Maine
- Sarthe - FRANCE - 1-9-1806 à Pointe-du-Lac). Marié le
27-8-1747 à Pointe-du-Lac à Marie-Anne Dupont (née
le 13-12-1723 à Trois-Rivières - 24-3-1790 en Mauricie).
***Il existe 5 autres lignées de Duval: André
dit-Duponthaut marié à Marie-Anne Boucher à
Rivière-Ouelle en 1692, celle de Charles-Borromée
marié à Marie-Madeleine Ayot à Sorel en 1682 ou
1689, celle de Jean marié à Marie Lamy, veuve de
François Chèvrefils, à Saint-Ours en 1678, celle
de Jean marié à Marie Lemaître à
Québec en 1678 et finalement, celle de Pierre marié
à Jeanne Labarbe en Normandie vers 1630.
FLEURENT ancêtre: Louis Pinard dit-Beauchement-dit-Fleurent
(né le 12-7-1634 à Notre-Dame-de-Cogne - Larochelle -
Aunis - FRANCE - 12-1-1695 à Batiscan). Marié à
Marie-Madeleine Hertel (née le 2-9-1642 à
Trois-Rivières - 1680 à Champlain). Remarié le
30-11-1680 à Champlain à Ursule Pépin (née
le 6-5-1662 à Trois-Rivières - 2-8-1740 à Nicolet).
***Il n'existe pas d'autre lignée de Fleurent!
FONTAINE ancêtre: Pierre dit-Bienvenu
Ancêtre des Bienvenue d'Amérique.
Pierre Fontaine naissait le 26 février 1668, de Jaque Fontaine et de Claude Girou.
Son père était marchand de bois à Orléans,
rue du Four à chaud, paroisse Saint-Laurent des Orgeries.
Le nom de Bienvenu lui vient de l'armée. Pour mériter le
sobriquet de Bienvenu avec le poste de sergent, il faut une force
morale pas ordinaire.
En 1692, Pierre décidait de s'établir au pays. Il épousa Marguerite Anthiaume, une veuve avec sept enfants.
Peu nombreux sont les livres qui racontent le fait d'armes de Pierre
Fontaine. Il a pourtant été d'un grand secours à
la célèbre héroïne bien connue de nous tous :
Madeleine de Verchères. En 1692, lors de l'attaque du Fort
Verchères par les Iroquois, entendant des coups de feu alors
qu'il était en canot avec sa famille au large du Fort, il
n'écouta que son courage et ses réflexes de militaire
pour bondir sur la rive. Il demeura avec elle jusqu'à la fin ;
pourtant les secours n'arrivèrent que huit jours plus tard.
En 1699, elle décédait le 4 octobre 1699, en donnant
naissance au quatrième enfant, Jacques baptisé à
Varennes, le 16 octobre 1699.
Le 25 mai 1700, il convolait en secondes noces avec Marquerite
Jeantès : petite fille de Michel Messier, seigneur de
Cap-Saint-Michel et d'Anne Lemoyne.
Le Sieur Pierre Fontaine dit Bienvenu possédait 600 arpents de
terre au Cap-Saint-Michel : voisin de Varennes et des îles de
Verchères.
Il mourut en 1738 et fut inhumé au soubassement de l'église de Varennes.
Verchères, Varennes et Contrecoeur constituent la petite patrie
des enfants de Pierre Fontaine. Aujourd'hui, ses descendants sont
dispersés dans beaucoup de paroisses de la plaine de
Montréal, de la vallée de Richelieu, des cantons de
l'Est, et des états de la Nouvelle-Angleterre.
Source : Mme Suzanne Delorme
Association Fontaine-Bienvenu
*** Il existe 3 autres lignées des Fontaine: celle de Louis &
Marie-Madeleine Brassard, celle de ÉTIENNE & MARIE CONILLE.
FOREST ancêtre: Michel dit-Gereyt-de-Forest (né 18-6-1637
à Leyde-Hollande - vers 1690 à Port-Royal-Acadie).
Marié en 1666 à Port-Royal-Acadie à Marie
Hébert (1637-1690 St-Jean-Baptiste (Port-Royal) - Nova-Scotia).
*** Il existe 1 autre lignée de Forest: celle de Marin & de
Marie-Anne Caty* à Pointe-aux-Trembles (Montréal).
FRECHETTE ancêtre: Francois, Capitaine de milice, charpentier de
navire. Ancêtre direct de Louis Fréchette et de Pamphil
Lemay. (né en 1656 St-Martin-de-Ré - Charente-Maritime -
FRANCE - 1726 à St-Nicolas (Lévis) - Région de
Québec - Québec). Marié le 18-1-1680 à
Ste-Famille à Anne Lereau (1665-1715) puis à Suzanne
Metayer (1666-1742) le 7-2-1717 à St-Nicolas (Lévis) -
Région de Québec - Québec.
*** Il existe 1 autre lignée celle de Pierre & Charlotte Godin.
GARIEPY ancêtre: François Gariépy, Ancêtre des Gariépy d'Amérique.
L'ancêtre François Gariépy était le fils de
Jean et de Jeanne D'Aragonce. Ceux-ci habitaient Montfort en Gascogne.
Ce maître menuisier vint au pays vers les années 1655 ou
1656.
Le lundi 13 août 1657, il épousait Marie Oudin, fille
d'Antoine et de Madeleine de la Russière, de Saint-Méry
de Paris. Ils vécurent à Québec pendant quelques
temps et, par la suite, s'établirent à
Château-Richer pour une bonne vingtaine d'années afin d'y
fonder un foyer.
Ils eurent 13 enfants:
• Marie-Ursule, née en 1658;
• Marguerite, née en 1660;
• Charles, né en 1661;
• Louise, née en 1664;
• François, né en 1665;
• Jacques, né en 1667;
• Geneviève, née 1669;
• Marie-Madeleine, née vers 1671;
• Louis, né en 1673;
• Catherine, née en 1677;
• Jean, né en 1679;
• Alexis, né en 1681;
• Pierre né en 1685.
Tous leurs fils se marièrent et engendrèrent de nombreux
enfants assurant ainsi la continuité du patronyme Gariépy
au pays. Ils s'établirent pour la plupart dans les
régions de Château-Richer, L'Ange-Gardien, Boucherville et
les environs.
L'aïeul, François Gariépy, décédait le
25 avril 1706. Son épouse s'éteignit quelques
années plus tard, le 19 septembre 1709.
Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il n'y a pas d'autre lignée de Gariépy!
GAUTHIER ancêtre:Jacques. Homme de métier (charpentier)
né vers 1642 dans la paroisse Saint-Vivien de Rouen
(Seine-Maritime, Normandie, France). Père de la lignée
Gauthier DeNevers d’Amérique. Épouse
(premières noces) Élisabeth-Ursule DeNevers* à
Sillery en 1672 ; de cette union sont issus François Gauthier
(marié à Élisabeth-Ursule Hamel), Joseph Gauthier
(marié à Marie-Catherine Hamel), Marie-Angélique
Gauthier (mariée à Charles-Joseph Hamel), Augustin
Gauthier (marié à Marie-Josephèfe Jouet),
Jean-Baptiste Gauthier (marié à Catherine Lemay),
Étienne Gauthier (marié à Anne Celle), Jacques
Gauthier (marié à Catherine Choquet) et Marguerite
Gauthier (mariée à Jacques Lussier). Père de la
lignée Gauthier Lambert d’Amérique. Épouse
(secondes noces) Françoise-Marguerite Lambert* à
Saint-Nicolas en 1703 ; de cette union sont issues Marie-Louise
Gauthier (mariée à Henri Louineau) et Marie-Catherine
Gauthier (mariée à Jean-Baptiste Loiseau). En 1729, il
avait 42 descendants. Décédé avant 1715 à
Sainte-Croix. Source: dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Ils existe 12 autres lignées de Gauthier!
GEOFFROY ancêtre: Jean Lacharité-Laspron-Lampron-Desfossés-Geoffroy. L'ancêtre Jean
Laspron est le fils de Jean Laspron et Marguerite Delaby , né
en l'année 1645 et baptisé à l'église St-Jacques de Lacharite-sur-Loire
Son épouse Anne Michèle Renault est née de Jean Renault et de
Catherine de St-Amour Catherine de St-Amour, de St-Pierre de
Saumur,évêché D'Angers. L'ancêtre Jean Laspron, alors âgé de 20 ans se
porte volontaire auprès du Roi Louis XIV pour venir en Nouvelle France
avec le Régiment de Carignan-Salières pour contrer la menace des
Iroquois qui vivaient au Sud de la Nouvelle France. Il arrive à Québec
avec le premier contingent le 18 Juin 1665 avec la Compagnie de M.
LaFouille, et il s'établira dans la région de Trois-Rivières(ville
fondée en 1634.Il est confirmé comme soldat le 21 septembre 1665.
Source: dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Il existe 1 lignée de Geoffroy: celle de Nicolas. Homme de
métier (maître taillandier) né sur
l’île de Ré (Charente-Maritime, Aunis, France).
Arrive en Nouvelle-France en 1664. S’établit à
Trois-Rivières. Père de la lignée Geoffroy
Pépin d’Amérique. Épouse Marie-Ursule
Pépin* à Trois-Rivières en 1678 ; de cette union
est issue Marie-Madeleine Geoffroy (mariée à
Jean-Baptiste Lampron). En 1729, il avait 9 descendants.
Décédé avant 1680 à Trois-Rivières.
GIRARD ancêtre: Pierre Girard (Guibert)
L'un des ancêtres des Girard d'Amérique
Le patronyme Girard signifierait une lance bien trempée ;
plusieurs colons français portant ce nom vinrent en
Nouvelle-France et firent eux aussi souche, soit : Étienne,
Jean, Joachim, Léon et Pierre ; Pierre est celui que nous avons
retenu ici.
Pierre Girard était le fils d'Étienne et de Marguerite
Gibouleau ; il vint au monde à Les Sables-d'Olonne,
évêché de Luçon, au Poitou, aujourd'hui
département de la Vendée. Il aurait été
porté au baptême vers 1645 ; sa jeunesse se déroula
devant l'Atlantique.
En 1669, il habitait à La Rochelle et pratiquait le
métier de marinier ; le 27 mars de la même année,
il passait un contrat de mariage devant le notaire Rabusson et unissait
sa destinée à Suzanne Lavoie, la veuve de Jean Tesson, la
fille de Pierre Lavoie et de Jacquette Grinon ; le couple partit pour
Québec après le 8 mai 1669. En effet, Pierre, ayant
contracté un engagement avec Pierre Gaigneur, traversa en
Nouvelle-France sur le Saint-Pierre de Hambourg.
En 1677, les Girard vivaient à Saint-Augustin, seigneurie de
Maur ; en 1681, ils possédaient : 1 fusil, 5 bêtes
à cornes et 12 arpents de terre en valeur.
Suzanne Lavoie avait donné naissance à huit enfants ;
cependant, au milieu de l'été 1687, à l'âge
de 37 ans, la jeune femme décédait. Il épousa
Élisabeth Lequin, une mère de 3 enfants, le 26 avril 1688
; c'est ainsi que le couple trouva un foyer commun pour leurs enfants,
sous la tutelle maternelle d'Élisabeth. En 1700, Pierre fit
faire l'inventaire des biens possédés avec Suzanne Lavoie
et ceux laissés par Élisabeth Lequin afin de les partager
équitablement entre ses enfants.
Élisabeth Lequin décédait le 12 février
1700, à Neuville. Pour ce qui est de Pierre il semble qu'il
vécut encore quelques années ; on ne connaît pas la
date exacte de son décès, mais au mariage de son fils
Pierre, en 1710, il était décédé.
On rapporte, et on s'en voudrait de ne pas le souligner, la grande
générosité qui caractérisait les
ancêtres Girard. Les descendants des Girard firent légion
à Charlevoix et au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Source: Le Centre de
généalogie francophone d'Amérique.
***Il existe 3 autres lignées de Girard!
GOUDREAU ancêtre: Gilles Gaudreau dit-Gotreau-dit-Goudreau.
(né le 22-3-1643 àSte-Catherine-de-la-Flotte - Ile de
Ré - Aunis - FRANCE - 10-11-1726 à Cap-St-Ignace)
Marié le 15-10-1671 à Ste-Famille à Anne Pineau
(née en 1645 à St-Eustache-de-Paris-France - 21-4-1749
à Cap-St-Ignace).
***Il n'existe pas d'autre lignée de Goudreau!
GOUIN ancêtre: Mathurin (né en 1637 à Angely (angelier) -
Poitier - Poitou - FRANCE - en 1730 à
Ste-Anne-de-la-Pérade). Marié le 20-11-1663 à
Trois-Rivières à Marie-Madeleine Viens (née en
1640 à Marennes-en-Aunis - FRANCE - 20-11-1663 à
Trois-Rivières). En 1729, il avait 31 descendants.
*** Il existe 1 autre lignée de Gouin: celle de Sébastien dit-Champagne & Louise Rainville.
GRANDMONT ancêtre: René dit-Auré-HOURAY-GRANDMONT.
(né le 7-1-1929 à St-Symphorien (AZAY-LE-RIDEAU) - Tours
- Touraine - FRANCE - 22-9-1704 à Champlain). Marié le
26-10-1665 à Champlain à Denise Damane (née vers
1639 à St-Jean-en-Greve - Paris - FRANCE - 22-9-1704 à
Champlain).
***Il n'existe pas d'autre lignée de Grandmont!
GRENIER ancêtre: Charles Garnier dit-Grenier (né en 1636
à Tournebu (CAEN) - Bayeux - Normandie - FRANCE - 5-2-1717
à Beauport). Marié le 21-12-1664 à Chateau-Richer
à Louise Vézina (née en 1652 à St-Rogatien
- La Rochelle - Aunis - FRANCE - 1-12-1714 à L'Ange-Gardien). En
1729, il avait 169 descendants.
*** Il existe 1 autre lignée: celle de Jean dit-Nadeau & Françoise Feuilleton.
GUEVIN ancêtre: Jean-Baptiste Guévin-Liévin
(né vers 1708-?). Marié le 6-4-1728 à
Pointe-aux-Trembles (Neuville) - Portneuf - Québec à
Marie-Suzanne Fauteux (vers 1708-?).
***Il n'existe pas d'autre lignée de Guévin!
HEBERT ancêtre: Étienne, Il arrive avec son frère
Antoine. Homme de métier (tonnelier) né en 1621 à
Martaizé (Vienne, Poitou, France). Arrive en Acadie en 1640.
Père de la lignée Hébert Lefranc
d’Amérique ; épouse Geneviève Lefranc*
à Port-Royal (Acadie) en 1645 ; de cette union sont issus Jean
Hébert (marié à Anne Doucet), Catherine
Hébert (mariée à Jacques Leblanc),
Geneviève Hébert et Jeab-Baptiste Hébert. De ses
descendants issus d’acadiens exilés en 1755
s’établissent à Yamachiche en 1767. Source:
Dictionnaire de Jean
Cournoyer.
***Il existe 7 autres lignées de Hébert!
HOUDE & HOULE ancêtre: Louis Houde
Ancêtre des Houde et Houle d'Amérique
Louis
Houde serait l'ancêtre racine de tous les Houde/Houle au pays. Il vit
le jour en 1617, au Manou, en Perche, cette partie de la France située
aux confins de l'Île-de-France, de la Normandie et du Maine.
Louis
entreprit la traversée au Canada sur un bateau de la compagnie des
Cent-Associés. Un certain Marsolet commandait le bateau et celui-ci
venait de Dieppe. Ils firent escale à Tadoussac et à cette occasion,
Louis avait même apposé sa signature dans un manuscrit aux archives
judiciaires de Québec, en date du 1er juillet 1647, au greffe du
notaire Lecoustre.
De là, il remonta le fleuve jusqu'à Québec pour
s'engager au service du seigneur le Gardeur de Tilly. Il devint alors
propriétaire d'une belle terre de 60 arpents du côté de Sillery qu'il
s'empressa de défricher.
Louis Houde se considérait maintenant prêt
à fonder un foyer. Le 12 janvier 1655, à Québec, il convola en juste
noce avec Madeleine Boucher, la fille de Marin et de Perrine Mallet.
Les Houde/Boucher mirent au monde quatorze enfants, dont neuf garçons.
Tous se marièrent et eurent des enfants, assurant ainsi la sauvegarde
de la lignée des Houde/Houle parmi nous.
L'aïeul, cet homme qualifié
de dynamique, sociable et généreux termina ses jours vers 1712, à
Ste-Croix, il était âgé de 95 ans. Son épouse l'avait précédé trois
années auparavant.
Ils laissèrent 75 petits-enfants, dont 31 petits-fils du nom de Houde et la chaîne continue toujours.
Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Houde ni de Houle!
JANELLE ancêtre: Jean-François (né en 1706 à
St-Germain d'Auxerrois - Paris - FRANCE - 11-5-1780 à
St-François-du-Lac). Marié le 18-5-1730 à
Baie-du-Febvre à Marie-Françoise Benoit (née
10-10-1706 à Baie-du-Febvre - 2-5-1787 à Nicolet).
***Il n'existe pas d'autre lignée de Janelle!
JOYAL ancêtre: Étienne Joyel dit-Bergerac. Homme de
métier (armurier et arquebusier) né vers 1636 à
Bergerac (Dordogne, Périgord, France). Le patronyme est aussi
épelé Joyel. S’établit à
Trois-Rivières, à Saint-François-du-Lac, puis
à Sorel. Père de la lignée Joyal Moral
d’Amérique. Épouse Gertrude Moral* à
Trois-Rivières en 1676 ; de cette union sont issus
Marie-Gertrude Joyal (mariée à Joseph Forcier), Jean
Joyal (marié à Marie-Françoise Cartier),
Marie-Josèphe Joyal (mariée à Pierre Abraham),
François Joyal (marié à Charlotte-Catherine Rault)
et Antoine Joyal (marié à Marguerite Patry). En 1729, il
avait 50 descendants. Décédé en 1716 à
Saint-François-du-Lac. Source: dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Joyal ou Joyel!
JUTRAS ancêtre: Dominique dit-Desrosiers. Il arrive avec sont
frère Claude dit-Lavallée (1630-1710) qui se mariera le
5-11-1657 à Trois-Rivières à Élisabeth
Radisson. Dominique qui est né en 1643 à
St-Séverin-France et décédé le 2-3-1699
à Nicolet. Marié le 9-1-1684 à St-Pierre-de-Sorel
à Marie Monty-Niquet (1668-1706).
Ils sont fils de Pierre Jutras & Claude Boucher
***Il n'existe pas d'autre lignée de Jutras!
LABARRE ancêtre: Jacques Genest dit-Labarre. L'ancêtre
Genest arriva en Nouvelle-France comme un oiseau migrateur, sans nous
donner son point de départ. Les noms de ses père et
mère demeurent inconnus.
On le retrace pour la première fois, à l'Île
d'Orléans, c'est d'ailleurs là qu'il passera sa vie.
Le 14 mars 1666, le notaire Vachon rédigeait le contrat de vente
de 2 arpents, 8 perches de terre de front sur le fleuve Saint-Laurent
au passage du nord, à l'Île-d'Orléans, seigneurie
de Lirec. Jacques Genest, taillandier (fabricant d'outils), venait
effectivement d'acheter une terre de Barthelemy Tesson. On dit que
l'acheteur et le vendeur ne savaient pas signer.
Le recensement de 1667 mentionne qu'il possédait 6 arpents en culture. Son voisin se nommait Robert Boulay.
La vie de défricheur s'avérait très
pénible; la pauvreté et la solitude faisaient souvent le
guet à la porte de la chaumière du colon du XVII e
siècle. En octobre 1669, Jacques, se sentant étouffer par
les dettes, vendit la plus grande partie de ses biens pour payer ses
créanciers.
Il épousait Catherine Doribeau ou Doribelle à l'automne
1669, pourtant on ne retrouve aucune trace de leur contrat de mariage.
En 1674, il agrandissait sa ferme, si bien qu'en 1681, il
possédait les biens suivants : 1 fusil, 8 bêtes à
cornes, 15 arpents de terre cultivée. Au recensement de cette
même année, on comptait alors 6 enfants autour de la table
familiale, Jacques déclara alors avoir 45 ans et sa femme 36 ans.
Le 18 août 1688, l'ancêtre Genest vendait, pour on ne sait quels motifs, sa terre et son habitation.
Toujours est-il qu'au mariage de son fils Charles, le 25 novembre 1699, on le recensait en la paroisse de Ste-Famille.
On suppose que lui et sa femme Catherine allèrent finir leurs jours chez leur fils Charles.
Il s'éteignit le 9 décembre 1706, à St-Jean, là même ou demeurait son fils.
Pour ce qui est de sa femme, on perd sa trace dans l'histoire.
Ils donnèrent 8 enfants à la postérité,
ainsi la troisième génération de Jacques et
Catherine comptait 41 descendants, sans compter les mortalités.
Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Labarre!
LACERTE ancêtre: Guillaume-Guy-Jean Vacher dit-Lacerte (né
le 21-4-1650 à St-Pierre - Angers - Anjou - FRANCE - 30-6-1720
à Trois-Rivières). Marié le 26-11-1685 à
Trois-Rivières à Marie-Madeleine Benoist (née vers
1660 à Trois-Rivières - 1728 à
l'Hopital-Général de Montréal). Guillaume à
aussi été marié à Marie Barillet &
à Marie-Catherine Guisselin.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Lacerte!
LAFOND ancêtre: Étienne dit-Mangrain-dit-Pépin.
Homme de métier (charpentier) né à
Saint-Laurent-de-la-Barrière (Charente-Maritime, Saintonge,
France). Arrive en Nouvelle-France en 1634. S’établit
à Trois-Rivières. Père de la lignée Lafond
Boucher d’Amérique. Épouse Marie Boucher à
Québec en 1645 ; de cette union sont issus Jean de Lafond
(marié à Catherine Sénécal, puis à
Catherine Anenontha), Geneviève de Lafond (mariée
à Jean Trottier), Pierre de Lafond dit Mongrain (marié
à Madeleine Rivard), Françoise de Lafond* (mariée
à Charles LeSieur*), Étienne de Lafond
(marié Marie-Madeleine Dubois) et Augustin de Lafond.
Gendre de Pierre Boucher*. En 1729, il avait 344 descendants.
Décédé en 1665 à Trois-Rivières.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Lafond!
LAFRENIERE ancêtre: Pierre Desrochers
dit-Rocher-dit-Lafrenière. Né à Saint-Macoux
(Vienne, Poitou, France). Ce patronyme est aussi épelé
Rocher. S’établit à Batiscan, puis à
Trois-Rivières. Père de la lignée Desrochers
Rabouin d’Amérique. Épouse Suzanne Rabouin*
à Batiscan en 1696 ; de cette union sont issus Marie-Catherine
Desrochers (mariée à Claude Lefebvre), Pierre-Joseph
Desrochers (marié à Marie-Anne Rouleau) et Gabriel
Desrochers (marié à Madeleine Lefebvre).
Source: dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Il existe au moins 1 autre lignée: celle de Antoine & Anne Leneuf du Herrisson.
LAHAIE-LAHAYE ancêtre: Pierre Lepellé
dit-LEPELLE-LAHAYE-DESMARAIS-LAMOTHE. Il arrive au pays avec son jeune
frère Jean (1636-1708 à Champlain) qui épousera le
10-10-1667 à Trois-Rivières Jeanne Isabelle qui
était la fille de son épouse Catherine Dodier. Pierre
& Catherine se sont mariés vers 1653 à
Trois-Rivières.
***Ils sont les seuls Lepellé en Amérique.
***Il existe 1 autre lignée de Lahaye: celle de Jean marié
à Marie-Madeleine Swarden à Québec en 1697.
LAMBERT ancêtre: Pierre (né le 29-4-1646 à
St-Jean-de-Fourmetot - Eure - FRANCE - en 1712 à
St-Antoine-de-Tilly). Marié le 4-3-1679 à Québec
à Marie Normand dit-Lenormand.
***Il existe 2 autres lignées de Lambert: celle de Aubin
dit-Champagne marié à Élisabeth Aubert à
Québec en 1670 et, celle de Eustache dit-Dumond & Marie
Laurence.
LAVOIE ancêtre: René Jr Delavoye. (né le 28-11-1628
à St-Maclou-de-Pontoise (PARIS) - Rouen - Normandie - FRANCE -
11-3-1696 à Cateau-Richer). Marié le 1-4-1656 à
Ste-Anne-de-Beaupré à Anne Godin (1639-1678).
*** Un autre Lavoie est venu en terre d'Amérique. Il s'agit de
Pierre de Lavoie qui avait épousé en 1650 à
Aytré, près de La Rochelle, Jacquette Grinon de qui il
eut quatre enfants. Il arriva veuf en Nouvelle-France avec ses quatre
enfants et on les retrouve au Cap Rouge lors du recensement de 1667.
Il se maria une seconde fois avec Isabelle Aupé, originaire de
Rouen, qui avait 20 ans au moment de son mariage. Ils eurent huit
enfants. Isabelle quitta ce monde en 1687 et Pierre lui survécut
21 ans. Source: Le Centre de généalogie francophone
d'Amérique.
LECLERC ancêtre: Louis-Noël Houde
dit-DESROCHERS-DESRUISSEAUX-HOUDE-CLAIR-LECLAIR-LECLERC. (On retrouve
tous ces patronymes dans sa nombreuse descendance). (né en 1617
à Manou - Perche - FRANCE - en 1712 à
Ste-Croix-de-Lotbinière-Québec). Marié le
12-1-1655 à Québec à Madeleine Boucher.
***Il existe 3 autres lignées de Leclerc: celle de Jean
dit-Le-Bouteleux & Marie Blanquet, celle de Florent & Marie
Gendre mariés à Trois-Rivières en 1658 et
finalement, celle de Robert & Marie Jalais mariés à
Québec en 1680.
LEFEBVRE ancêtre: Pierre Lefebvre est un de ces quelque trente
Lefebvre arrivés en Nouvelle-France au dix-septième
siècle. Il était le fils de Pierre Lefebvre et de Jeanne
Cutiloup.
En 1646, il se marie avec Jeanne Auneau, aux Trois-Rivières.
Sept enfants sont nés de cette union. Un des descendants,
Jacques, sera seigneur de la Baie-du-Febvre. D'autres Lefebvre vinrent
de Normandie, de la Picardie et d'autres régions de France
trouver sur ce nouveau continent un peu d'espoir et la promesse d'un
avenir meilleur. Ce sont ces aventuriers en quête
d'espérance qui implantèrent le nom des Lefebvre en terre
d'Amérique. Source: Le Centre de généalogie
francophone d'Amérique. (Le frère de Jacques, Ange
est venu le rejoindre à Baie-du-Febvre, les deux habitaient l'un
en face de l'autre à moins de 2 km à l'est de l'actuel
village. Jacques habitait sur le plat au nord de la route 132 et Ange
habitait de l'autre côté en haut sur le coteaux... C'est
pourquoi le patronyme Descoteaux est apparu dans sa descendance)!
***Il existe au moins 13 autres lignées de Lefebvre!!!
LEMAIRE ancêtre: Jean (NÉ VERS 1700 À Pisquit -
Acadie - Nouvelle-Écosse). Marié le 22-11-1717 à
St-Charles-des-Mines - Acadie - Nouvelle-Écosse - CANADA
à Marguerite Vincent-Yvon (née 1699 en Acadie).
***Il existe 2 autres lignées de Lemaire: celle de Charles
dit-Saint-Germain marié à Marie-Clémence Rapin
à Lachine en 1707 et celle de Claude-Louis marié à Marie-Charlotte Charron* à Longueuil en 1686.
LEMIRE ancêtre: Jean (né en 1626 à St-Vivier
(Rouen) - Normandie - FRANCE - 5-10-1684 Hotel-Dieu - Québec -
Québec). Marié le 20-10-1653 à Québec
à Louise Marsolais (née le 17-5-1640 à
Québec - 19-4-1712 à Québec).
Ancêtre des Lemire d'Amérique
Jean Lemire serait probablement l'ancêtre de la plupart des
Lemire au pays. Ses père et mère, Mathurin et Jeanne
Vannier, étaient natifs de St-Vivien, dans l'arrondissement de
Rouen, avant-port de Paris sur la Seine-Maritime. L'année 1626
serait la date approximative de sa naissance.
Le 20 juillet 1653, le maître charpentier prenait pour
épouse Louise Marsolet ; ses parents, Nicolas et Marie Barbier
de Saint-Aignan, furent amenés en Nouvelle-France par Samuel de
Champlain lui-même.
En 1667, le couple prit la décision de s'établir sur une
terre à Cap-Rouge ; les Lemire possédaient
déjà dix arpents de terre en valeur, trois domestiques
travaillaient pour eux et cinq têtes de bétail broutaient
dans les champs.
Cette même année, Jean fut nommé syndic des
habitants du pays ; il devint ainsi le porte-parole de la
communauté auprès du Conseil souverain.
En 1684, le maître charpentier jouissait de l'estime
générale ; on lui confia alors la construction, en
chêne du Batiscan, d'un clocher qui devait couronner la tour sud
de la cathédrale de Québec. Malheureusement, neuf mois
plus tard, soit le 5 octobre 1684, l'aïeul décédait,
à l'âge d'environ 65 ans ; son épouse, Louise, le
rejoignit plusieurs années plus tard, c'était en 1712.
Source : Le Centre de généalogie francophone d'Amérique
***Il existe 1 autre lignée de Lemire: celle de Isaac
marié à Hélène Damours à Batiscan en
1686.
LEVASSEUR ancêtre: Pierre dit-Lespérance. Homme de
métier (maître menuisier) né vers 1627 dans la
paroisse Saint-Leu-et-Saint-Gilles de Paris (France).
S’établit à Québec. Père de la
lignée Levasseur Chaverlange d’Amérique.
Épouse Jeanne Chaverlange* à Québec en 1655 ; de
cette union sont issus Madeleine-Françoise Levasseur
(mariée à Jean-Baptiste Gosset), Marguerite Levasseur
(mariée à Maximilien Chefdeville), Pierre Levasseur
(marié à Madeleine Chapeau), Jeanne Levasseur
(mariée à Jean Rouillard), Félicité
Levasseur (mariée à Pierre Hamel) et François
Levasseur (marié à Marie-Madeleine Larue).
Beau-frère de Christophe Drolet*. En 1729, il avait 85
descendants. Décédé en 1694 à
l’Hôtel-Dieu de Québec. Source: dictionnaire de Jean
Cournoyer.
***Il existe au moins 3 autres lignées de Levasseur: celle de
Jean dit-Lavvigne marié à Marguerite Richard
à Paris en 1646, celle de Laurent marié à
Marie Marchand à Québec en 1670 et finalement celle de
Louis marié à Marguerite Bélanger à
Château-Richer en 1666.
LEVESQUE ancêtre: Robert Homme de métier (charpentier)
né vers 1642 à Hautot-Saint-Sulpice (Seine-Maritime,
Normandie, France). Arrive en Nouvelle-France en 1671.
S’établit à Rivière-Ouelle sur une terre que
lui concède le seigneur J.-Baptiste-François Deschamps*.
Père de la lignée Lévesque Chevalier
d’Amérique. Épouse Jeanne Chevalier* à
L’Ange-Gardien (près de Québec) en 1676 ; de cette
union sont issus François-Robert Lévesque (marié
à Marie-Charlotte Aubert), Pierre-Joachim Lévesque
(marié à Angélique Letartre) et Joseph
Lévesque (marié à Angélique Meneux). En
1729, il avait 45 descendants. Décédé en 1699
à Rivière-Ouelle. Source: dictionnaire de Jean Cournoyer.
*** Il existe 2 autres lignées de Lévesque: celle de
Jacques dit-Sanssoucy marié à Marguerite Lair à
Montréal en 1698, celle de Pierre marié à Marie
Croizet à La Pérade en 1677.
LONGVAL ancêtre: Bertrand Fafard dit-Longval-dit-Laframboise.
Né vers 1620 à Hotot-en-Auge (Calvados, Normandie,
France). S’établit à Trois-Rivières.
Père de la lignée Fafard Sédilot
d’Amérique. Épouse Marie Sédilot* en 1640 ;
de cette union sont issus Louis Fafard de Longval (marié
à Marie Lucas), Étiennette Fafard* (mariée
à Pierre Boivin*) et Jean Fafard (marié à
Françoise Marchand). Frère de François Fafard*.
Demi-frère de Françoise Fafard*. En 1729, il avait 128
descendants. Décédé en 1660 à
Trois-Rivières. Source: dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Ils sont les seuls portant le patronyme de Fafard.
LUPIEN ancêtre: Nicolas Baron dit-Lupien (né le 17-6-1645
à Villenauxe - Troyes - Aube - FRANCE - 31-10-1697 à
Lachenaie. Marié le 16-11-1676 à Montréal à
Marie-Marthe Chauvin (née le 17-1-1662 à Montréal
- 11-2-1728 à Maskinongé).
***Il n'existe pas d'autre lignée de Lupien ou de Baron.
MANSEAU ancêtre: Jacques Robidas. Jacques Robidas dit Manseau
Un des ancêtres des Robidas et des Manseau d'Amérique
Jacques Robidas (Robida) dit Manseau, a été
baptisé le 14 août 1665, à Saint-Nicolas,
diocèse du Mans (Maine), en Sarthe. De là, l'origine du
surnom 'Manseau' que plusieurs Robidas ont adopté. Ses parents
étaient Gabriel Robidas dit Le Pelletier, maître
cordonnier, et Anne Crespin. Jacques, qui, comme son père,
apprit le métier de cordonnier, entra également dans la
carrière militaire pour quelques années.
Notre ancêtre vint sans doute en Nouvelle-France avec les troupes
des Compagnies franches de la Marine, en octobre 1684, à bord du
vaisseau "l'Emérillon". Il était sergent de la Compagnie
du Marquis Antoine de Crisafy, qui, récemment devenu capitaine,
avait été envoyé au Canada avec une compagnie de
soldats, pour protéger la colonie contre les attaques iroquoises.
Le 14 janvier 1692, à Montréal, sans doute durant une
période d'inactivité militaire, Jacques Robidas
épousa Louise De Guitre, fille de Louis et Renée de
Seine. Louise, née à La Rochelle, le 5 aout 1667,
était alors veuve de François Cibardin. Ce dernier avait
été tué par les Anglais, au combat de Laprairie,
le 10 août 1691, soit un mois seulement après son mariage
avec Louise, le 9 juillet 1691.
Selon Adhémar (GRM), la carrière militaire de Jacques
Robidas avait déjà prit fin le 30 juin 1695. Plusieurs
documents indiquent qu'il a ensuite pratiqué son métier
de cordonnier durant son séjour à Montréal. Mais
la vie n'était pas facile, en plus du conflit iroquois, Jacques
et Louise perdirent plusieurs enfants, morts au berceau. En 1699, nos
ancêtres allèrent s'établir à
Trois-Rivières où quelques naissances d'enfants Robidas
furent enregistrées. En 1708, Jacques Robidas faisait
l'acquisition d'une terre de trois arpents de largeur, sur les rives du
Lac St-Pierre, à la Baie-du-Fèbvre. C'est ce coin du pays
qui vit grandir la plupart de mes ancêtres Robidas.
Nous ne savons malheureusement que très peu de choses sur la vie
de Louise De Guitre sinon qu'elle avait épousé deux
militaires, qui, comme son père, étaient cordonniers. Le
registre de la Baie-du-Fèbvre nous livre un petit détail
sur son décès, survenu le 9 août 1632. Le
missionnaire inscrivit sur l'acte d'inhumation: "...je lui avait
donné et administré tous les sacrements, en
présence d'une très grande partie de cette paroisse..".
Doit-on comprendre que notre ancêtre était bien
apprécié de ses semblables?
Elle avait donné naissance à dix enfants, tous issus de son union avec Jacques Robidas:
• Gabriel, né le 25
octobre 1692 à Montréal, marié en 1715 à
Madeleine Benoit et en 1734 à Marguerite Constantineau;
• Marie (jumelle),
née le 18 décembre 1694, décédée le
23;
• Françoise
(jumelle), née le 18 décembre 1694,
décédée le 25;
• Isabelle (jumelle),
née le 15 avril 1696, mariée en 1717 à Claude
Proulx;
• Michel (jumeau), né le 15 avril 1696, décédé le 29;
• Charlotte, née le
25 mars 1698 à Montréal, décédée le
5 avril 1698;
• Françoise,
née le 2 septembre 1699 à Trois-Rivières,
mariée en 1724 à Alexis Proulx;
• Jean Baptiste, né
le 15 juillet 1702, marié en 1722 à Marie Josephe
Pépin et en 1751 à Angélique Poirier, mort
noyé à Nicolet le 18 mai 1757;
• Madeleine, née vers
1704, mariée en 1729 à Pierre Lefebvre,
décédée le 8 octobre 1751;
• Louis, né le 23
mars 1705 à Trois-Rivières, marié en 1731 à
Françoise Pinard.
Avant que Jacques Robidas dit Manseau à son tour rende
l'âme, le 20 août 1741, à la Baie-du-Fèbvre,
il avait épousé M-Madeleine Miville, fille de Jean et
Madeleine Dubé, à St-François du Lac, le 7 janvier
1734. Un seul enfant naquit de cette union.
Source: Noella Reid Gold
Les Robidas
***Il existe 1 autre lignée de Manseau: celle de Jacques
marié à Épouse Marguerite Latouche à
Québec en 1673.
MARTEL ancêtre: Honoré Martel dit Lamontagne
Ancêtre des Martel d'Amérique
Le patronyme Martel signifie une masse d'armes, une arme de choc ; on
donna plus tard ce nom à un outil de fer propre à battre,
à forger.
Honoré Martel serait probablement l'ancêtre de la plupart
des Martel au pays. En effet, la souche de la plus grande famille de ce
nom en Amérique serait, sans contredit, Honoré Martel,
sieur de Lamontage et son épouse, Marguerite L'Admirault ou
Lamirault, originaires de Paris.
C'est en 1632, dans la paroisse de St-Eustache de Paris, que vit le
jour l'ancêtre Honoré Martel. Sa mère se nommait
Marie-Barbe Duchesne et son père, Jean Martel, marchand de
chevaux.
En 1665, il s'engagea comme soldat du régiment de l'Allier ;
c'est ainsi qu'à l'âge de 33 ans il débarqua
à Québec.
L'ancêtre avait rencontré son épouse, Marguerite
L'Admirault, parmi les filles du roi arrivées en 1668 ;
née à St-Germain l'Auxerois, à Paris en 1645, elle
était la fille de François, cocher de la reine et de
Jeanne Clause. Après quelques semaines, le couple
décidait de se marier le 26 novembre 1668, à
Québec ; Honoré commença alors à travailler
comme charpentier.
De leur union, le couple Martel/L'Admirault engendra quatorze enfants.
Au moins cinq de leurs fils se marièrent et fondèrent des
familles nombreuses sauvegardant ainsi la lignée des Martel dit
Lamontagne jusqu'à nos jours.
L'aïeul, Honoré Martel dit Lamontagne décéda
entre les années 1712 et 1714, à Québec ; son
épouse, Marguerite Lamirault l'avait
précédé en 1706. Honoré se remaria
l'année suivante, en secondes noces, à Marie Marchand,
ils n'eurent pas d'autre enfant ; Marie mourut peu de temps
après 1708.
Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Martel!
MCMAHON ancêtre: Michel (né vers 1820 à Tipperary -
IRLANDE - ?). Marié le 29 4 1845 à Ste-Monique de Nicolet
à Judith Sweeney.
***Il sont la seule famille à porter ce patronyme.
MENARD ancêtre: Jacques dit-Lafontaine (né vers 1632
à Mervent - Poitou - FRANCE - 14-1-1707 à Boucherville).
Marié le 19-11-1657 à Trois-Rivières à
Catherine Fortier dit Forestier.
*** Il existe 3 autres lignées de Ménard: celle de Jacques
dit-Deslauriers marié à Marie-Madeleine Baugis à
Beauport en 1680, celle de Jean dit-Bellerose marié à
Élisabeth Valiquet à Boucherville en 1690 et finalement
celle de Pierre dit-Saint-Onge marié à Marguerite
Deshayes à Sorel en 1670.
MILOT ancêtre Pierre (né le 14-7-1728 à
Saint-Broingt-les-Moines (DIJON) - Bourgogne - Côte-d'Or - FRANCE
- 33-3-1807 à Yamachiche). Marié le 9-2-1756 au
Forges-du-St-Maurice à Trois Rivières à
Marie-Françoise Blaye dite-Blaie (née 25-3-1724 à
Yamachiche - 22-12-1813 à Yamachiche).
*** Il existe 1 autre lignée de Milot: celle de Jean
dit-LeBourguignon marié à (premières noces)
Marie-Marthe Pinson à Montréal en 1654 et
(secondes noces) à Mathurine Thibault à
Montréal en 1663.
PAQUET-PAQUETTE ancêtres: Les ancêtres Pasquier, Paquet-te
Différentes souches
Du XVIIe au XVIIIe siècle, plusieurs Français du nom de
Pasquier sont venus s’établir en Nouvelle-France. Quatre
d’entre eux ont fait souche et ont laissé des descendants.
Tous les quatre sont de racine poitevine.
Etienne Pasquier, fils d’Etienne et de Jeanne Poussarde,
originaire de Dissay au Poitou, est venu au pays comme soldat du
régiment de Carignan, compagnie de La Motte. Le 6 octobre 1668,
il épouse à Québec une fille du roi, Henriette
Rousseau, fille de Jacques et de Jeanne Arnoult de St-Nicolas au
faubourg St-Germain-en-Laye. C’est leur fils Philippe qui
assurera la descendance de cette souche.
***Lignée de la Mauricie.
À la même époque, quelque part sur
l’Île d’Orléans, vivait Philippe Pasquier. Il
était le fils d’Antoine Pasquier et de Renée
Fouyart de St-Martin-la-Rivière aussi au Poitou. Par un contrat
du notaire Aubert, il épouse Françoise Gobeil, fille de
Jean et Jeanne Guyet, le 12 juin 1669. Ils auront dix enfants dans
quatre fils pour continuer leur lignée.
Après Philippe, c’est au tour d’Isaac Pasquier dit
Lavallée de s’établir ici. Il était le fils
de Mathurin et de Marie Frémillon de St-Jean de Montaigu
toujours au Poitou. C’est, lui aussi, comme soldat du
régiment de Carignan, compagnie de La Motte qu’il arrive
en Nouvelle-France. Le 30 juin 1670 à Château-Richer, il
épouse Elisabeth Meunier, fille de Mathurin et de
Françoise Fafard. Ils prendront racines à
l’Île d’Orléans. Cinq de leurs fils se
marieront et transmettront le nom de Pasquier. Certains de leurs
descendants, issus de leur fils Jean-François, porteront le nom
de Lavallée.
Le premier et le plus connu des Ancêtres Pasquier serait
Méry ou Emery Pasquier. Il est originaire de la ville de
Poitiers. Il y est baptisé le 18 mars 1614 dans la paroisse
St-Jean-Baptiste. Il est le fils d’Annet Pasquier et de
Marguerite Genet. Il épouse Vincente Beaumont le 25 octobre 1637
dans la même paroisse. Ils auront sept enfants et trois
d’entre eux viendront en Nouvelle-France; il s’agit de
Maurice, René et Marguerite. Vincente Beaumont
décède le 20 novembre 1658 à St-Jean-Baptiste de
Poitiers.
Méry se remarie à Poitiers avec Renée Guillocheau,
veuve de Jacques Forget. Le 29 juillet 1659, il se présente
devant le notaire Berthonneau pour établir son contrat de
mariage. Il est accompagné de son fils Maurice qui se marie lui
aussi. Il a choisi pour épouse Françoise Forget, la fille
de Renée Guillocheau. Le père et le fils
exerçaient le métier de maître-sergetier.
C’est vers 1667 que Méry et sa femme viennent
s’établir à Bourg-Royal, près de
Charlebourg. Maurice vient lui aussi avec sa femme et sa fille Jeanne.
Un autre fils de Méry les accompagne, il s’agit de
René. Quant à Marguerite, elle viendra rejoindre sa
famille en 1670 en profitant des avantages consentis aux filles du roi.
Elle épousera d’abord François Biville le 26
novembre 1670 et en deuxièmes noces, Bernard Gonthier le 20
janvier 1676. René choisira le métier de mesuisier et
épousera Hélène Lemieux le 16 octobre 1679 et
s’établira dans la basse-ville de Québec.
Nous ignorons la date du décès de Méry Pasquier et
celle de Renée Guillocheau. On sait que Renée est
décédée en 1679 lorsque René, son beau-fils
se marie. Quant à Méry, il ne figure pas au recensement
de 1681.
Source : Mme Jocelyne Paquet
Condensé de mes lectures
Sources : Dictionnaire Jetté, Revue : Racines Robert Prévost.
PELISSIER ancêtre: Pierre-Isaac (né le 23-12-1670 à
Xaintes - Saintonge - FRANCE - 27-10-1758 à
St-Michel-de-Yamaska). Marié le 10-9-1714 à
St-Pierre-de-Sorel à Clémence Harel (néé en
1689 à Québec - 9-4-1757 à St-Michel-de-Yamaska).
*** Il n'y a pas d'autre lignée de Pélissier.
PELLERIN ancêtre: François dit-Colbec (né en 1636
à Bacilly - Avranche - Normandie - FRANCE - en 1680 à
Beaubassin-Acadie. Marié à André Martin.
Pierre Pellerin
L'un des ancêtres des Pellerin d'Amérique
François Pellerin fut probablement le premier Pellerin
arrivé en Acadie et son fils que nous retiendrons ici serait
l'un des premier arrivé en Nouvelle-France.
Donc, l'un des ancêtres Pellerin, Pierre Pellerin, naissait en
1680 de François et Andrée Martin, de l'Acadie ; il
était aussi le frère de Jeanne, mariée à
Jacques Moyen.
Il épousait devant le notaire François Rageot, Marie-Anne
Bélanger, le 1er juin 1722, à
St-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud ; elle était la fille de
Jacques et Élisabeth Thibault.
Le premier fils du couple, Pierre et Marie-Anne Pellerin, portait le
même prénom ; il épousait en première noce,
Geneviève Destroismaisons, baptisée en 1716 ; ils eurent
un enfant, Pierre, en 1738, qui se maria en 1767 à
Françoise Deneau de St-Thomas. Il se remaria en 1749 à
Marie-Françoise Morin ; de ce second mariage naissait dix autres
enfants entre les années 1750 et 1766.
C'est ainsi que Pierre et son père François Pellerin
contribuèrent, certainement et pour une bonne part, à
perpétuer la lignée des descendants portant le patronyme
Pellerin au pays.
Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Pellerin.
PEPIN ancêtre: Guillaume dit Tranchemontagne. Il était
Syndic des Trois-Rivières, puis juge de la Segneurie de
Champlain. Il était déjà établi aux
Trois-Rivières en 1634 à l'endroit où se trouve
aujourd'hui la Communauté des Dames Ursulines. Il était un
des ancêtre de L'Honorable Hector Langelier. Re: T1 DEAT.
(né vers 1610 à St-Laurent-de-la-Bavières - Xainte
- FRANCE - 12-8-1697). Marié le 26-10-1645 à
Trois-Rivières à Jeanne Méchin (née en 1630
à La Rochelle (Charente-Maritime) - Aunis - FRANCE - ?).
*** Il existe 2 autres lignées de Pépin: celle de Antoine Pepin dit Lachance
Ancêtre des Pepin dit Lachance d'Amérique
En 1636, naissait au Havre, en Normandie, l'ancêtre, Antoine
Pépin dit Lachance. Il était le fils d'André Pepin
et de Jeanne Chevalier.
Il serait arrivé en Nouvelle-France en 1650. Quelques
années plus tard, le 6 janvier1655, lui et François
Gaulin se virent octroyer une concession de 15 arpents par Louis
d'Ailleboust, dans son domaine de Coulonge. Ils étaient
domestiques pour le gouverneur. Le même jour, il leur
concédait une terre de 200 arpents située de l'autre
côté du fleuve, dans la seigneurie de Lauzon.
Le 11 novembre 1659, Antoine passait un contrat de mariage avec Marie
Teste (Têtu), la fille de Jean et de Louise Talonneau, de
Salles-de-Villefagnan, non loin d'Angoulène. Il l'épousa
treize jours plus tard, le 24 novembre, et ils allèrent
s'installer à Sainte-Famille, sur l'Île-d'Orléans.
Douze enfants sont nés de ce mariage, dont huit fils. Cinq de
ceux-ci fondèrent des foyers et perpétuèrent le
nom des Pépin dit Lachance en Amérique. Source: Le Centre
de généalogie francophone d'Amérique.
Et, celle de: Robert, homme de métier (maître couvreur
d’ardoise) né à Grisy (Calvados, Normandie,
France). S’établit à Québec, puis à
Beauport. Père de la lignée Pepin Crête
d’Amérique. Épouse Marie Crête à
Québec en 1670 ; de cette union sont issus Jean Pepin
(marié à Marguerite Moreau), Robert Pepin (marié
à Élisabeth Royer), Marie-Rosalie Pepin (mariée
à Pierre Élie) et Louis Pepin (marié à
Anne-Élisabeth Boutin). En 1729, il avait 77 descendants.
Décédé en 1686 à Beauport. Source:
Dictionnaire de Jean Cournoyer.
PINARD ancêtre: Louis-Étienne dit-Beauchemin. Né
dans la paroisse Sainte-Marguerite de La Rochelle (Charente-Maritime,
Aunis, France). S’établit à Trois-Rivières,
à Champlain, puis à Batiscan. Père de la
lignée Pinard Hertel d’Amérique. Épouse
(premières noces) Marie-Madeleine Hertel* à
Trois-Rivières en 1658 ; de cette union sont issus
Marie-Françoise Pinard (mariée à Martin
Giguère), Claude Pinard (marié à
Marie-Françoise Gamelin), Louis Pinard dit Lauzier (marié
à Madeleine Renou), Marguerite Pinard (mariée à
François Reiche) et Marie-Angélique Pinard (mariée
à Jean Niquet). Père de la lignée Pinard
Pépin d’Amérique. Épouse (secondes noces)
Marie-Ursule Pépin* à Champlain en 1680 ; de cette union
sont issus Antoine Pinard (marié à Marie Jutras),
Guillaume Pinard dit Beauchemin (marié à Marguerite
Leclerc), Marie-Ursule Pinard (mariée à Michel Jutras) et
Jean-Baptiste Pinard (marié à Agnès Gauthier). En
1729, il avait 133 descendants. Décédé en 1695
à Batiscan. Source: Dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Il n'y a pas d'autre lignée de Pinard.
POIRIER ancêtre: Jehan dit-Jean
Ancêtre des Poirier d'Amérique
En l'an 1641, sur le navire le Saint-François, un matelot du nom
de Jean Poirier arrive en terre d'Acadie. Quelques années
après son arrivée, soit vers 1647, il se serait
marié à Jeanne Chebrat.
Ils auraient eu un fils nommé Michel, né vers 1650 à Port-Royal.
Celui-ci devait épouser, en 1673, Marie Boudrot, la fille de Michel Boudrot et de Michelle Aucoin.
Michel Poirier sera parmi les premiers colons de Beaubassin. Il y est d'ailleurs décédé.
Son fils Michel, né vers 1674, se maria vers 1698 avec Madeleine
Bourgeois, fille de Germain Bourgeois et de Madeleine Dugas. Ils eurent
treize enfants, dont Ambroise, qui convola vers 1732 avec Marie Gaudet,
fille d'Augustin Gaudet et d'Agnès Chiasson.
Source: La Société historique acadienne
*** Il existe 3 autres lignées de Poirier: celle de Nicolas
marié à Anne Rabouin à Montréal en 1689,
celle de Michel dit-Langevin marié à Jeanne Rigaud
à Sorel en 1676 et finalement, celle de Jean dit-Lajeunesse
marié à Marie Langlois à Montréal en 1668.
PRÉCOURT ancêtre: François Vanasse (né en
1640 à St-Maclou-de-Rouen - Normandie - FRANCE - avant 1718
à St-François-du-Lac). MArié le 2-8-1671 à
Cap-de-la-Madeleine à Jeanne Fourrier (née vers 1651 en
France - avant 9-2-1718 à St-François-du-Lac). En
1729, il avait 101 descendants.
*** Il n'existe pas d'autre lignée de Vanasse et ou Précourt!
PROULX ancêtre: Claude-Jean-Baptiste dit-Prou (né en 1641
à St-Jean-de-Moutierneuf - Poitiers - FRANCE - 9-12-1703
à St-François-de-Sales (Neuville) - Québec).
Marié Jeanne Chabot à St-Jean-Montierneuf - Poitier -
Poitou - FRANCE puis en seconde noce le 2-11-1676 à Neuville
à Catherine Pinel (1658-1723).
*** Il existe 2 autres lignées de Proulx: celle de Jean
marié à Jacquette Fournier à Québec en 1673
et celle de Jacques dit-Le Poitevin marié à Jeanne Pilon à Lachine en 1706.
RAICHE ancêtre: PINARD, Louis-Étienne dit-Beauchemin. Né dans la paroisse
Sainte-Marguerite de La Rochelle (Charente-Maritime, Aunis, France).
S’établit à Trois-Rivières, à Champlain, puis à Batiscan. Père de la
lignée Pinard Hertel d’Amérique. Épouse (premières noces)
Marie-Madeleine Hertel* à Trois-Rivières en 1658 ; de cette union sont
issus Marie-Françoise Pinard (mariée à Martin Giguère), Claude Pinard
(marié à Marie-Françoise Gamelin), Louis Pinard dit Lauzier (marié à
Madeleine Renou), Marguerite Pinard (mariée à François Reiche) et
Marie-Angélique Pinard (mariée à Jean Niquet). Père de la lignée Pinard
Pépin d’Amérique. Épouse (secondes noces) Marie-Ursule Pépin* à
Champlain en 1680 ; de cette union sont issus Antoine Pinard (marié à
Marie Jutras), Guillaume Pinard dit Beauchemin (marié à Marguerite
Leclerc), Marie-Ursule Pinard (mariée à Michel Jutras) et Jean-Baptiste
Pinard (marié à Agnès Gauthier). En 1729, il avait 133 descendants.
Décédé en 1695 à Batiscan. Source: Dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Il n'y a pas d'autre lignée de Raiche.
RENÉ ancêtre: René Cottret dit Cotret-dit-Coltret
dit-René-de-Cottret. Né dans la paroisse
Saint-Étienne de Rennes (Ille-et-Vilaine, Bretagne, France). Le
patronyme est aussi épelé Cotteret.
S’établit à Trois-Rivières. Père de
la lignée Cotret Gladu d’Amérique. Épouse
Marguerite Gladu* à Trois-Rivières en 1691 ; de cette
union sont issus Pierre de Cotret (marié à Marie-Louise
Therrien), René de Cotret (marié à Marguerite
Therrien) et Marie-Madeleine de Cotret (mariée à Pierre
Ango). Décédé en 1699 à
Trois-Rivières. Source: Dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Il n'existe pas d'autre lignée de René ou de
de-Cottret. (Ce patronyme est celui qui est le plus modifié dans
sa descendance...Le patronyme "René" est apparu à cause
du prénom de l'ancêtre...)
RICHARD ancêtre: Richard-Jacques FRY-PRE-PRAYE-RICHARD (né
en Angleterre- en Mauricie). Marié le 23-11-1726 à
Trois-Rivières à Louise Pothier.
***Ils existe 7 autres lignées:
-Michel Richard
Ancêtre des Richard d'Amérique
Michel Richard est né vers 1630. Il épouse à Port
Royal, vers 1656, Madeleine Blanchard, fille de Jean Blanchard et de
Radegonde Lambert. Ils eurent dix enfants.
Après de décès de Madeleine, Michel se remarie
avec Jeanne Babin, fille d'Antoine Babin et de Marie Mercier. La
famille Babin demeurait voisin de Michel Richard.
Deux enfants vont naître de ce second mariage.
L'aîné du premier mariage, René Richard, est
né à Port-Royal en 1657. Il se mariera avec Madeleine
Landry, fille de René Landry et de Perrine Bourque. Ils auront
cinq enfants, dont 4 fils.
Leur progéniture s'étendra en terre d'Amérique et
notamment sur la côte est du Nouveau-Brunswick. Source: La
Société historique acadienne
-Alexandre marié à Marie Levron à Port-Royal en 1711.
-Guillaume dit-Lafleur marié à Agnès Tessier à Montréal en 1675.
-Jacques dit-Larose marié à Élisabeth Baudreau à Montréal en 1696.
-Marin dit-Lavallée marié à Marie-Madeleine Grangeon à Québec en 1669.
-Pierre marié à Marguerite Évin à Château-Richer en 1670.
-Pierre marié à Françoise Miville à Cap-Saint-Ignace en 1680.
Source: Dictionnaire de Jean Cournoyer.
RICHER ancêtre: Pierre Richer-Laflèche (né en 1647
à St-Pierre-de-Thouarcé - Maine-et-Loire - Anjou - FRANCE
- 17-5-1722 à La Pérade-Québec). Marié le
5-10-1671 à Québec à Dorothée Brassard.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Riché.
RIVARD ancêtre: Nicolas Rivard
Ancêtre des Rivard d'Amérique
Par rapport au plus grand nombre de colons arrivés au XVIIe
siècle en Nouvelle-France, les Rivard se trouvent historiquement
privilégiés, car on connaît maintenant
jusqu'à Thamas Louche et Perrine Mercier, les
arrière-grands-parents de Jeanne Mullard, mère de Nicolas
et de Robert Rivard, deux pionniers de la Mauricie.
Par les Louche et les Mullard, les Rivard canadiens peuvent être
fiers du fait qu'ils connaissent, du moins partiellement, un
passé qui remonte dans le temps à près d'un
demi-millénaire.Qui peut dire mieux, à part les familles
issues de la grande noblesse?
Départ pour le Canada;
Le vendredi 6 mars 1648, Nicolas se présente en la maison du
notaire Chouaiseau, qui rédige pour lui le contrat que voici:
*Fut présent Nicolas Rivard demeurant à Toulouvre, lequel
a volontairement promis et s'est obligé par corps et biens
à et envers maître Noël Juchereau sieur des
Chastellées demeurant pour lui Pierre Juchereau sieur des
Moulineaux demeurant à Toulouvre ad ce présent, savoir
est d'aller par ledit Rivard servir ledit Juchereau sieur des
Chastellées audit pays de la Nouvelle-France autrement dit
Canada pour le temps de trois ans à commencer du jour de
l'embarquement qui se fera en cette année à la Rochelle
et finissant au débarquement qui se fera au bout dudit temps en
France de le nourrir pendant ledit temps et a été ce fait
moyennant la somme de soixante et six livres tournois pour chacun an
que ledit Juchereau a promis de payer ou faire payer par ledit
maître Noël son frère audit Rivard par chacun an sur
lequel somme celui Rivard a reconnu avoir reçu dudit Juchereau
la somme de quinze livres tournois dont il se tient content.
Défenseur des colons...
Nicolas Rivard n'hésitait pas à se porter à la
défense des faibles. Le 13 août 1663, on le voit porter
plainte contre Michel Peltier de Laprade, le futur seigneur de
Gentilly. Le vaillant capitaine de milice assumant pleinement son
rôle, a trouvé chez Peltier un nommé Pierre Retoucq
"étendu, sans parole", après une violente querelle.
Nicolas porte alors plainte contre l'assaillant et un tribunal
composé de Pierre Boucher, Quentin Moral et Louis Laurent
condamnera le défendeur à vingt livres d'amende.
"Nicolas Rivard, écrit madame Jeanne Patenaude, avait comme
caractère propre, un attrait et des aptitudes, il faut dire, le
portant à s'occuper de la chose publique: en maintes occasions,
les Archives nous le présentent comme ayant pris l'initiative de
défendre les intérêts communs des habitants du Cap
ou de Batiscan, et les actes notariés ou les
procès-verbaux s'ecpriment très souvent à peu
près en ces termes: Nicolas Rivard, sieur de la Vigne, habitant
du dit lieu, sachant lire et écrire agissant pour et au nom de
tous les colons, se faisant leur procureur et défendeur,
demande, ect... et les pétitions étaient adressées
à l'Intendant, aux autorités civiles ou religieuses,
ect..."
Marque d'une pitié singulière...
Au recensement de 1681,Nicolas a 60 ans et il demeure avec sa femme et
ses dix enfants à Bastiscan. Il y exercera la fonction de
capitaine de milice jusqu'en 1698,c'est-à-dire jusqu'à
l'âge de 81 ans.En fait, il achève son voyage en ce bas
monde.Le 1*juillet 1701, on le conduira à son dernier repos, au
petit cimetière paroissial. Il était resté actif
jusqu'à la fin. Sur son acte de décès, le
curé inscrit qu'il a manisfesté toutes les marques d'une
pitié singulière. Catherine sa femme, lui survivra
près de huit ans, étant aussi inhumée à
Bastiscan le 28 juin 1709.
Nicolas Rivard de La Vigne et ses descendants les; :
Rivard,Dufresne,Préville,
Lacoursière,Lanouette,
Laglanderie-Beaucourt,
Bouin,Tessier
Lavigne & Pérusse
Nicolas Rivard et Catherine de Saint-Père ont été
les parents de sept fils et trois filles;Nicolas (1654-1719),
marié à Elisabeth Trotier, puis à Françoise
Marien, veuve de Sébastien Grenat; Jeanne (1656-1698),
marié à Charles Dutaut;Julien, sieur de la Glanderie
(1657-1708), marié à Elisabeth Thunay; François,
sieur de Lacoursière(1659-1726), marié à Madeleine
Lepellée, puis à Geneviève Chêne dit
Lagrave; Pierre, sieur de Lanouette(1661-1724), marié à
Catherine Trottier; Madeleine (1663-1737), marié à Pierre
de Lafond; Michel (1665-1687); Jean, sieur de Préville
(1668-1731), marié à Geneviève Trotier; Catherine
(1673-1703), marié à Alexis Marchand; Antoine, né
en 1675, vivant encore en 1697, destinée inconnue.
Plusieurs surnoms;
Les descendants de Nicolas Rivard ont porté divers surnoms, ce
qui complique quelque peu leur généalogie.L'ancêtre
se faisait aussi appeler Lavigne, surnom qui est passé à
de nombreuses famille ayant vécu sur la rive-sud, face au
comté de Champlain.
Julien le second fils de Nicolas, est à la tête de la
branche des Laglanderie.Ce surnom à complètement
disparu.Son fils Joseph a épousé Elisabeth Thunay
dit Dufresne.Les descendants de ce couple on conservé le surnom
de leur mère; c'est ce qui explique la présence de
nombreuses familles Dufresne en Mauricie.
Les Lacoursière descendent de Francois, le troisième fils
de Nicolas.Les Lanouette (Pérusse)et Lavigne descendent
principalement de Pierre, le quatrième fils. Les Préville
nous viennent de Jean, le sixième fils. François le fils
de Julien, a pris le surnom de Laglanderie-Beaucourt. A la
quatrième génération, on retrouve même
Jean-Baptiste Préville dit Gervais.
Où vivent les Rivard?
Grande avaleuse de ressources humaines, la région
montréalaise a attiré vers elle le plus grand nombre des
descendants de l'ancêtre Nicolas. Il s'y trouve au moins 450
familles Rivard, 700 Lavigne, 650 Dufresne, 80 Lacoursière et
autant de Lanouette, de même que plus de 50 Préville, et
quelque Pérusse.Cependant, les Lavigne et les Dufresne peuvent
appartenir à d'autre familles, notamment aux Tessier dit
Lavigne, aux Bouin dit Dufresne et aux Pérusse. La Mauricie
compte près de 300 familles Rivard, plus de 200 Dufresne, plus
de 150 Lacoursière, près de 100 Lavigne et quelques
Lanouette. Ces familles sont aussi passablement nombreuses dans la
région de Québec.
Quel rapport entre Nicolas Rivard et certains Pérusse?
-----Le 3 mars 1862 dans la paroisse de Sainte
Anne-De-La-Pérade, Joseph-Alfred Lanouette fils majeur de
Thiburce Lanouette, prit pour épouse Elise Boulard, fille majeur
de Michel Boulard.
-----Le 11 janvier 1865 dans la paroisse de Sainte
Anne-De-La-Pérade, le corps de Elise Boulard
décédé depuis deux jours , fût
inhumé, âgée de
25ans, épouse de Alfred Lanouette,
journalier (non présent).
-----En 1865, Alfred Lanouette fils de Joseph-Alfred et de Élise
Boulard, fût prit en charge par; sieur Edmond Pérusse et
par Dorothée Chabot.
-----En 1881, le 1* octobre, (homologué le 4 octobre) sieur
Edmond Pérusse conducteur demeurant dans la ville de
Lévis, adopta légalement Alfred Lanouette demeurant dans
la ville de Lévis, cartier Lauzon, fils mineur âgé
de 19 ans, issu du mariage de feu dame Elise Boulard, et de Alfred
Lanouette, journalier, demeurant dans un pays inconnu.Aux fin que le
tuteur soit autorisé à donner son consentement au mariage
du dit mineur vu qu'il rencontre un parti avantageux et à
défaut de parents. Le dit mineur n'ayant pas de parents dans la
province de Québec, qui lui sont connus.
-----Le 10 octobre 1881, Alfred (né Lanouette) Pérusse
épousa Marie-Cécile Lacroix et de cette union a
été baptisé;
le 23-10-1882, Marie-Alfreda-Alexina Lanouette dit Pérusse, décède le 28-07-1883
" 18-02-1884, Joseph-Alfred-Jean Pérusse,
" 11-02-1886, Joseph-Léger-Edmond Lanouette dit Pérusse,
" 19-08-1887, Théodore-Jean-Baptiste Lanouette dit Pérusse,
" 13-07-1889, Joseph-Elzéar-Sifroi Lanouette dit Pérusse,
" 14-06-1891, Joseph-Urbain-Lucien Lanouette dit Pérusse, décède le 22-09-1893
" 07-08-1893, Valère-Alphonse-Roméo-Eugène Lanouette dit Pérusse,
" 11-08-1895, Joseph-Ernest-Lucien Lanouette dit Pérusse,
" 21-03-1899, Joseph-Alfred-Antonio Lanouette dit Pérusse
La plus grande partie des Pérusses descendant de Nicolas Rivard
demeure encore à Lévis là où Alfred
Lanouette, Pérusse fût adopté pour lui permettre de
se marier puisqu'il était encore mineur, car à cette
époque l'âge de la majoration était de 21 ans.
Recherche complété par Hélène Pérusse le 24 avril 1998
Sources d'informations; La généalogie Canadienne,
les registres paroissiaux et contrats de notaires.
Source: Hélène Pérusse.
***Il existe 1 autre lignée de Rivard: celle du frère de Nicolas,
Robert dit-Loranger marié à Madeleine Guillet à Cap-de-la-Madeleine en
1664.
ROBERGE ancêtres: Pierre Roberge dit Lacroix
et Pierre Roberge dit Lapierre
Ancêtres des Roberge d'Amérique
Pierre Roberge dit Lacroix et Pierre Roberge dit Lapierre, deux
frères du même homonyme, seraient les ancêtres de la
plupart des Roberge au pays. ; nés du second mariage de leur
père, Jacques, avec Claudine Buret, ils virent le jour à
St-Germain-le-Vasson, du diocèse de Bayeux, en Normandie,
département du Calvados.
Les deux frères traversèrent probablement l'Atlantique en
même temps, étudièrent ensemble au séminaire
de Québec et s'installèrent tous les deux à
l'Île d 'Orléans.
Pierre Roberge dit Lacroix
Né en 1637, l'aîné des Roberge prit le nom de
Lacroix et épousa en premières noces Antoinette Bagau de
Beaurenom, la fille de Guillaume et de Françoise LePoupet de
Les-Moitiers-d'Allonne, à Cherbourg, dans
l'évêché de Coutances, en Normandie. Sa
première épouse décéda en 1684, le couple
Roberge/Bagau n'eut pas d'enfants.
L'ancêtre, Pierre Roberge dit Lacroix, choisit pour seconde
épouse Marie Lefrançois ; elle était la fille de
Charles et de Marie-Madeleine Triot. De ce second mariage, les
Roberge/Lefrançois eurent, entre 1685 et 1696, sept enfants ; au
moins trois de leurs fils fondèrent des familles et
perpétuèrent cette lignée de Roberge,
appelée Roberge dit Lacroix.
L'aïeul quitta ce monde et fut porté en terre à
St-Laurent de l'Île d'Orléans, le 17 juin 1710 ; sa veuve
et seconde épouse, Marie Lefrançois, mourut plusieurs
années plus tard, soit le 26 février 1722 à
St-Laurent de l'Île d'Orléans.
Pierre Roberge dit Lapierre
On appela curieusement Pierre Roberge dit Lapierre du même
prénom que son frère de onze ans son aîné,
on suppose que c'est pour cette raison qu'on ajouta dit Lapierre
à son nom et dit Lacroix à celui de son grand
frère. En plus, comme mentionné plus haut, il semblerait
que le destin les réunissait constamment.
L'ancêtre, Pierre Roberge dit Lapierre, proposa le mariage
à Françoise Loignon, la fille de Pierre et
Françoise Roussin ; il l'épousa le 3 juillet 1679,
à Ste-Famille de l'Île d'Orléans.
Après s'être établit à St-Pierre de
l'île d'Orléans, ils eurent treize enfants et quatre
d'entre eux moururent en bas âge. Heureusement, neuf
survécurent et la plupart se marièrent et eurent des
enfants, dont quatre garçons qui à leur tour
continuèrent cette lignée de Roberge, appelée
Roberge dit Lapierre.
L'aïeul termina ses jours à St-Pierre de l'île
d'Orléans, à l'âge d'environ 76 ans, c'était
le 24 octobre 1725 ; son épouse lui survécut encore cinq
ans et s'éteignit à son tour le 1er juin 1730, à
Québec.
Source : Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il existe 1 autre lignée de Roberge: celle de Denis
marié à Geneviève Aubert à
Château-Richer en 1672
ROBIDAS ancêtre:
MANSEAU ancêtre: Jacques Robidas. Jacques Robidas dit Manseau
Un des ancêtres des Robidas et des Manseau d'Amérique
Jacques Robidas (Robida) dit Manseau, a été
baptisé le 14 août 1665, à Saint-Nicolas,
diocèse du Mans (Maine), en Sarthe. De là, l'origine du
surnom 'Manseau' que plusieurs Robidas ont adopté. Ses parents
étaient Gabriel Robidas dit Le Pelletier, maître
cordonnier, et Anne Crespin. Jacques, qui, comme son père,
apprit le métier de cordonnier, entra également dans la
carrière militaire pour quelques années.
Notre ancêtre vint sans doute en Nouvelle-France avec les troupes
des Compagnies franches de la Marine, en octobre 1684, à bord du
vaisseau "l'Emérillon". Il était sergent de la Compagnie
du Marquis Antoine de Crisafy, qui, récemment devenu capitaine,
avait été envoyé au Canada avec une compagnie de
soldats, pour protéger la colonie contre les attaques iroquoises.
Le 14 janvier 1692, à Montréal, sans doute durant une
période d'inactivité militaire, Jacques Robidas
épousa Louise De Guitre, fille de Louis et Renée de
Seine. Louise, née à La Rochelle, le 5 aout 1667,
était alors veuve de François Cibardin. Ce dernier avait
été tué par les Anglais, au combat de Laprairie,
le 10 août 1691, soit un mois seulement après son mariage
avec Louise, le 9 juillet 1691.
Selon Adhémar (GRM), la carrière militaire de Jacques
Robidas avait déjà prit fin le 30 juin 1695. Plusieurs
documents indiquent qu'il a ensuite pratiqué son métier
de cordonnier durant son séjour à Montréal. Mais
la vie n'était pas facile, en plus du conflit iroquois, Jacques
et Louise perdirent plusieurs enfants, morts au berceau. En 1699, nos
ancêtres allèrent s'établir à
Trois-Rivières où quelques naissances d'enfants Robidas
furent enregistrées. En 1708, Jacques Robidas faisait
l'acquisition d'une terre de trois arpents de largeur, sur les rives du
Lac St-Pierre, à la Baie-du-Fèbvre. C'est ce coin du pays
qui vit grandir la plupart de mes ancêtres Robidas.
Nous ne savons malheureusement que très peu de choses sur la vie
de Louise De Guitre sinon qu'elle avait épousé deux
militaires, qui, comme son père, étaient cordonniers. Le
registre de la Baie-du-Fèbvre nous livre un petit détail
sur son décès, survenu le 9 août 1632. Le
missionnaire inscrivit sur l'acte d'inhumation: "...je lui avait
donné et administré tous les sacrements, en
présence d'une très grande partie de cette paroisse..".
Doit-on comprendre que notre ancêtre était bien
appréciée de ses semblables?
Elle avait donné naissance à dix enfants, tous issus de son union avec Jacques Robidas:
• Gabriel, né le 25
octobre 1692 à Montréal, marié en 1715 à
Madeleine Benoit et en 1734 à Marguerite Constantineau;
• Marie (jumelle),
née le 18 décembre 1694, décédée le
23;
• Françoise
(jumelle), née le 18 décembre 1694,
décédée le 25;
• Isabelle (jumelle),
née le 15 avril 1696, mariée en 1717 à Claude
Proulx;
• Michel (jumeau), né le 15 avril 1696, décédé le 29;
• Charlotte, née le
25 mars 1698 à Montréal, décédée le
5 avril 1698;
• Françoise,
née le 2 septembre 1699 à Trois-Rivières,
mariée en 1724 à Alexis Proulx;
• Jean Baptiste, né
le 15 juillet 1702, marié en 1722 à Marie Josephe
Pépin et en 1751 à Angélique Poirier, mort
noyé à Nicolet le 18 mai 1757;
• Madeleine, née vers
1704, mariée en 1729 à Pierre Lefebvre,
décédée le 8 octobre 1751;
• Louis, né le 23
mars 1705 à Trois-Rivières, marié en 1731 à
Françoise Pinard.
Avant que Jacques Robidas dit Manseau à son tour rende
l'âme, le 20 août 1741, à la Baie-du-Fèbvre,
il avait épousé M-Madeleine Miville, fille de Jean et
Madeleine Dubé, à St-François du Lac, le 7 janvier
1734. Un seul enfant naquit de cette union.
Source: Noella Reid Gold
Les Robidas
***Il existe 1 autre lignée de Manseau: celle de Jacques
marié à Épouse Marguerite Latouche à
Québec en 1673.
***Il n'existe pas d'autre lignée
ROUSSEAU ancêtre: Jacques (né vers 1644 à Loix
(ILE-DE-RÉ) - Aunis - FRANCE - 1711 à Hotel-Dieu -
Québec - Québec. Marié à
St-Augustin-de-Desmaures - Portneuf - Québec à Marguerite
Guillebourg (Née Vers 11-6-1656 à Sillery - Vers
15-12-1729 à St-Nicolas).
***Il existe 3 autres lignées: celle de Antoine dit-Labonté
marié à Marie-Barbe Roinay à La Prairie en 1675,
celle de Jean marié à Marie Destroismaisons à
Cap-Saint-Ignace en 1699 et finalement, celle de Thomas marié
à Madeleine Olivier à Québec en 1667.
THERRIEN ancêtre: Pierre Terrien & Jean Terrien
Ancêtres des Therrien d'Amérique
PIERRE et Gabrielle Mignot
Le 5 avril 1656 , devant le notaire Moreau de la Rochelle, Pierre
s'engage à travailler à Québec pour une
période de trois ans avec un salaire de soixante livres par an
(approximativement 40,00$) toutes dépenses payées.
Une fois la période de son engagement terminée, Pierre
décida de rester au Canada et de s'établir sur l'Ile
d'Orléans.
Le 26 février 1669, il obtint concession d'une terre de
Monseigneur François de Laval, évêque du pays et
seigneur de l'Île d'Orléans. L'emplacement
s'étendait sur 3 arpents de front et se situait sur le bord du
fleuve Saint-Laurent du côté sud.
Un an plus tard, soit en 1670, il épousa Gabrielle Minau ou
Mignot , ils allèrent alors s'établir pendant 3 ans
à l'Ile aux Grues.
De l'union de Gabrielle et Pierre Terrien naissait 14 enfants, dont 12 garçons et deux filles.
Il fut inhumé à Québec le 12 septembre 1706.
-Acte de mariage de JEAN TERRIEN et Judith Rigaud :
" L'an de grâce mil six cent soixante-sept, le
vingt-sixième jour de janvier, après la proclammation des
bans faite par trois dimanches consécutifs, la première
le 9e la seconde le 16e, la dernière le 23e jour du dit mois,
dans la messe paroissiale; ne s'étant trouvé aucun
empêchement canonique, moi, Jean Frémont, curé de
cette paroisse des Trois-Rivières, ait interrogé dans
l'église Jean Terrien de cette paroisse, fils de Jean Terrien et
de Marie Hélie, ses père et mère, de la paroisse
de St-Jacques de Dieppe, et de Judith Rigault, de cette mème
paroisse, veuve de François LeMaistre, habitant de ce lieu; et,
ayant reçu leur mutuel consentement, les ait mariés, avec
les cérémonies requises, en présence de Maurice
Poulain et de Louis Godefroy dit de Normandville. "
Source: Site des familles Therrien d'Amérique
Dictionnaire National des Canadiens Français, partie historique, Tome III, Institut Drouin.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Therrien!
THIBAULT ancêtre: Guillaume Thibault
Le premier ancêtre Thibault d'Amérique
Le patronyme Thibault signifierait «homme audacieux».
Plusieurs Thibault vinrent au pays, mais celui que nous retiendrons ici
est Guillaume Thibault/Tibault, le premier arrivé au Canada et
l'ancêtre souche d'une fort nombreuse descendance. Il est
né de l'union de Nicolas et d'Élisabeth Anséaume
ou Anthiome de Rouen, en Normandie (Seine-Maritime).
L'ancêtre Guillaume Thibault vint au pays pour la première
fois vers 1638, plus précisément à
Trois-Rivières. Il semble qu'il retourna en France pour une
dizaine d'années où il y travailla comme boulanger et
tailleur d'habits.
Il revint en 1648 et quelques années plus tard, soit en 1654, il
épousait Marie-Madeleine François ou Lefrançois.
Elle était la fille adoptive d'Isaac, capitaine d'une compagnie
de cavalerie, et d'Esther Paigne de Metz, de Lorraine (Moselle).
Le couple choisit Château-Richer comme lieu de résidence.
Les Thibault/François engendrèrent huit enfants, dont
cinq fils. Quatre d'entre eux se marièrent et fondèrent
des familles nombreuses. Ils contribuèrent
généreusement à perpétuer cette
lignée de Thibault au pays.
Guillaume décédait le 21 août 1686, à
Château-Richer. Son épouse se remaria en 1696 à
François Fafard.
Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique.
***Il existe 3 autes lignées de Thibault: celle de Denis
marié à Andrée Caillaud à Sainte-Famille
(île d’Orléans) en 1669, celle de François
marié à Élisabeth-Agnès Lefebvre à
Beaupré en 1670 et celle de Michel marié à Jeanne
Soyer en France en 1660.
TREMBLAY ancêtre: Pierre Pierre Tremblay
Ancêtre des Tremblay d'Amérique
On dit que le sens premier du patronyme Tremblay serait "lieu
planté de trembles", ce nom illustre bien cette famille dont les
membres comptent plus de soixante mille. Presque un
Québécois sur cent porte ce nom!
Pierre Tremblay percheron, qui s'établissait en Nouvelle-France
en 1647, mérite bien le nom d'homme-souche donné par ses
descendants car ils forment la plus nombreuse famille du Québec.
Cet ancêtre Tremblay naissait en 1626; ses parents se nommaient
Philibert et Jeanne Coignet ou Conguet, de Perche, village de
Randonnai. On suppose qu'il serait apparenté aux du Tremblay,
sieurs du Gaillon, propriétaires de terres et de l'importante
forge de Randonnai. À la mort de son père on imagine que
Pierre lui succéda pour faire fructifier la terre familiale.
Au mois d'août 1647, Pierre Tremblay venait tenter l'aventure en Nouvelle-France.
En 1657, il travaille sur la Côte de Beaupré,
épousait Ozanne Achon, originaire de Puyravault, village
à quelques milles de la Rochelle.
Deux ans plus tard, soit en 1659, il s'achetait une terre à l'Ange-Gardien, il se hissa alors au rang des notables.
En 1689, le pionnier s'éteignit, il laissait derrière lui
sa femme Ozanne et douze enfants, sa femme ne le suivra qu'en 1707.
Pierre, leur fils, assura amplement la survie du nom; il engendra huit
enfants issus de deux mariages. Ce fils, avec sa seconde épouse,
sont les parents des Tremblay des Éboulements. Leur second fils,
Michel, avec Geneviève Bouchard, sa femme, allèrent
porter leur descendance jusqu'au fort Détroit. Louis, se maria
quatre fois et eut quatorze enfants, ils s'installèrent à
l'Ile-aux-Coudres, à la Baie-Saint-Paul et aux
Éboulements. Jacques, le dernier, vécut sur la terre
paternelle; sa descendance, répandue sur la Côte de
Beaupré, s'étendit sur la rive sud du Saint-Laurent.
Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique. En 1729, il avait 333 descendants.
***Il est le père de la seule lignée de Tremblay en Amérique!
TRUDEL ancêtre: Jean dit-Jean-Pierre.
Ancêtre des Trudel d'Amérique
Jean Trudelle est le premier ancêtre des Trudel (Trudelle) d'Amérique.
Jean était le fils de Jean Trudelle et de Marguerite Nouier. Il
était originaire de Pardondeval, près de Mortagne,
département de l'Orne dans le nord de la France.
Il arriva à Québec en 1645. Il devait s'écouler
dix ans avant qu'il ne rencontre l'élue de son coeur et se marie
avec Marguerite Thomas, fille de Jean et de Marguerite Frédy de
Stavelot, diocèse de Liège en Belgique.
Il alla s'établir par la suite à l'Ange-Gardien, sur la
côte de Montmorency. Le gouverneur de la Nouvelle-France,
monsieur de Repentigny, lui avait concédé une terre de
trente arpents non défrichée. Il y construisit sa maison
et se mit à mettre sa terre en valeur.
Au recensement de 1666, il se dit tisserand et père de cinq
enfants. Il avait un engagé à son emploi du nom de Michel
Bigot.
Au recensement de 1681, il a six enfants, quatre autres ont
quitté le toit paternel. Il possède 2 fusils, 8
bêtes à cornes et 30 arpents de terre.
Marguerite Thomas est décédée en 1695,
âgée de 61 ans. Jean est décédé
à l'âge de 70 ans et fut inhumé à
l'Ange-Gardien en 1699. Il avait eu 12 enfants (9 fils et 3 filles).
***Un autre Trudel, Michel, s'est établi à Shawinigan en
1656. Il n'est pas parent avec la lignée des Trudel descendants
de Jean. En 1729, il avait 286 descendants. Source: Le Centre de
généalogie francophone d'Amérique.
VALLÉE ancêtres: Pierre & Jean (2 frères).
Né dans la paroisse Saint-Jean de Rouen (Seine-Maritime,
Normandie, France). S’établit à Sainte-Famille
(île d’Orléans). Père de la lignée
Vallée Martin d’Amérique. Épouse Marie
Martin* à Château-Richer en 1666 ; de cette union sont
issus Marie-Madeleine Vallée (mariée à Philippe
Létourneau), Charles Vallée (marié à
Marie-Ursule Gendras) et Élisabeth Vallée (mariée
à Jean-Joseph Belon). Frère de Pierre Vallée*. En
1729, il avait 28 descendants. Décédé avant 1673
à Sainte-Famille (île d’Orléans). Source:
Dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Vallée!
VEILLEUX ancêtre: Nicolas. Nicolas Verieul
Ancêtre des Veilleux d'Amérique
Notre association regroupe les patronymes suivants: Veilleux -
Veuilleux - Vigue - Vague - Varieur - Varrieur - Viellieu - Vielleux -
Valyou et probablement View, Evening, Wake...
Nicolas Verieul est né le 17 octobre 1632 à Dieppe,
Normandie, France, fils de Nicolas Verieul et de Perrette Roussel.
Il serait venu dans la colonie à l'été 1656. La
preuve: à Château-Richer, le 13 mai 1657 (avant
l'arrivée annuelle des vaisseaux de France), il signe, comme
témoin, à deux contrats de vente de terre du notaire
Audouart. Le 26 avril 1659 (not. Peuvret), il s'engage comme matelot au
service de Pierre Emouys, Sieur de Saint-Jacques; ceci lui assurait un
salaire de "27 livres par mois pour une durée de quatre". Par la
suite, Nicolas fera du cabotage sur le fleuve pendant de nombreuses
années.
Dès le printemps 1660, Nicolas Verieul s'associe avec Richard
Dumesnil, escuyer, pour louer et cultiver des terres à
Château-Richer. Néanmoins, le 26 juin 1660, Nicolas
"estant sur son depart du pays pour aller en france" cède
à son associé, la "portion de grain qui lui revient" sur
la concession de Marie Tavernier, veuve d'Eustache Bacon à
Château-Richer. Se rendit-il en France? Nous ne pouvons
l'affirmer, les recherches n'étant pas complétées.
La période d'absence est assez longue pour lui permettre un
aller et retour... car, en effet, nous perdons sa trace au pays
jusqu'au 18 mai 1662 où il "constitue Mathieu d'Amours, escuyer,
sieur deschaufour, son procureur général... pour recevoir
des sommes dues depuis le 28 novembre 1661..." En 1664, ils
achètent deux terres à Ste-Anne-de-Beaupré et
continuent de les exploiter.
Nicolas Verieul, "mathelot", passe son contrat de mariage avec
Marguerite Hyardin, le lundi 5 octobre 1665, à Québec
devant le notaire Claude Aubert. L'abbé Thomas Morel
bénit le mariage en décembre 1665 au Cap Tourmente "dans
la maison de julien fortin dit belle fontaine tenant lieu
d'église".
Marguerite Hyardin est née le 30 août 1645 dans la
paroisse Notre-Dame de Joinville, Haute-Marne en Champagne, fille de
René Hyardin et Jeanne Serré. Elle arrive au pays
à la fin de l'été 1665.
Les deux associés se séparent: dès le 6 janvier
1666, il y a accord verbal qui sera ratifié devant le notaire
Auber, le 3 avril suivant: "on este les choitz et partage ainsi faits
entre lesd partyes et tirés au scrutin et billet par nous
faits..." Nicolas et Marguerite habitent donc une terre qui occupe
aujourd'hui le centre de la Ville de Beaupré où un
monument sera érigé bientôt.
Enfants: Nicolas 1667; Marie 1669; Marguerite 1671; Angélique
1673; Marie-Jeanne 1779; Joseph 1681; Madeleine 1683; René 1685;
Jean-Baptiste 1688.
La famille s'installe en 1676 à St-François, Île
d'Orléans, sur une terre de 5.8 arpents de front, du
côté nord de l'île. En 1697, Nicolas en vend 3
arpents à son gendre Jacques Baudon. En 1708, il donne à
son fils cadet, Joseph, 26 ans, les 2.8 arpents restants.
Nicolas Verieul atteint l'âge vénérable de 82 ans
et est inhumé le 11 octobre 1714 à St-François.
Marguerite Hyardin, âgée de 74 ans et 9 mois
décède le 29 mai 1720 et est inhumée le 30
également à St-François, Île
d'Orléans.
DESCENDANCE
Mariages: MARGUERITE 1690 (Jacques Baudon) et 1713 (Hypollite Lehoux) -
ANGÉLIQUE 1688 (Claude Landry) - MARIE-JEANNE 1696
(Antoine Dandurant) - MADELEINE 1703 (Pierre Fougère).
La descendance Verieul/Veilleux fut assurée par les mariages de deux fils:
NICOLAS 1692 (Marie-Anne Mesny) et 1705 (Madeleine Duchesne): 8 enfants.
JOSEPH 1710 à Marguerite Butaut: 9 enfants.
Source: René Veilleux, président
Association des familles Veilleux inc.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Veilleux!
VERRETTE ancêtre: Michel dit-Verret Né vers 1644 dans la
paroisse Saint-Eutrope de Saintes (Charente-Maritime, Saintonge,
France). S’établit à Charlesbourg. Père de
la lignée Verret Deschamps d’Amérique.
Épouse (premières noces) Marie Deschamps à
Québec en 1669 ; de cette union sont issus Joseph Verret
(marié à Louise Renaud), Jean Verret (marié
à Marie-Angélique Ferré), Jacques Verret
(marié à Marie-Perrine Dehuise), Jeanne Verret
(mariée à Jacques Brunet) et Marie-Madeleine Verret
(mariée à Pierre Bon). Père de la lignée
Verret Galarneau d’Amérique. Épouse (secondes
noces) Marie Galarneau à Charlesbourg en 1683 ; de cette union
sont issus Pierre Verret (marié à Marie-Madeleine
Boulinot), Élisabeth Verret (mariée à Jean
Meilleur) et Jean Verret (marié à Marie-Josèphe
Lépinay). En 1729, il avait 71 descendants.
Décédé en 1724 à Charlesbourg. Source:
Dictionnaire de Jean Cournoyer.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Verret-Verrette!
VINCENT ancêtre: Pierre (né en 1631 à
Maine-et-Loire - Anger - FRANCE - 1685 à Annapolis-Acadie).
Marié en 1662 à Port-Royal-Acadie à Marie-Anne
Gaudet (1647-vers 1686).
***Il existe 1 autre ligné de Vincent: celle de François
marié à Marguerite Tessier à Longueuil en 1738.
VOULIGNY ancêtre: Claude David dit-Vouligny (né vers 1625
en Normandie-France - 30-11-1687 à Cap-de-la-Madeleine). Il est
venu avec ses frères Jacques-Laurent marié à Marie
Grondin et; Guillaume marié à Marie Armand. Claude s'est
marié le 19-8-1647 à Trois-Rivières à
Suzanne Denoyon.
***Il n'existe pas d'autre lignée de Vouligny.